En réponse au message de tres-саlіп :
En réponse au message de parfum-de-femme :
Bon alors, tu m'expliques le purgatoire…
je n'ai pas à répondre sur un sujet qui n'est pas l'objet du topic que j'ai créé et que tu pollues par des allusions qui n'ont aucun rapport avec la forme poétique ACROSTICHE.
Dont tu ignores tout
Pas du tout, cher ami.
C'est toi-même dans ton message non quotté correctement du 8 Août 2019 à 21:15 qui as amené le thème du purgatoire.
Souviens toi:
En réponse au message de tres-саlіп :
Voilà pourquoi il est tellement arrogant c'est qu'il a peur quand même que le sacré existe et lui inflige une durée purgatoire pour calmer ses humeurs belliqueuses...
Voulant faire du mauvais esprit (pour ne pas dire de la merde) au sujet d'un purgatoire ou d'une religion dont tu ne connais même pas le crédo…
De mon coté, le livre dont tu prétends que c'est un de mes bibelots décoratifs, je l'ai scruté attentivement pendant un quart de siècle.
Sinon, c'est "purgatif", le terme, dans sa connotation médicale.
Pour un savant des mots, tu me déçois car, même dans ta zone de compétence, tu fais dans la médiocrité…
Ensuite, tu me taxes d'idioties alors que, toi-même, à part assembler mécaniquement des mots pour faire des alexandrins, tu ne maîtrises plus grand chose…
Quand à la forme poétique ACROSTICHE, tu prends vraiment le lecteur pour un con.
La relation avec le topic Vincent Lambert d'où tu t'es retiré la ԛuеuе entre les jambes est évidente et tu règles des comptes personnels sous couvert d'un mot pédant.
Où comment garder un port altier en se comportant comme un goret…
Bon, je vais te laisser avec tes vieilles manies…
Il faut bien, à un moment ou un autre, constater que le sujet d'étude n'est pas intéressant.
Je vais donc faire avec toi comme avec le loup: Faire comme si tu n'existais pas.
Ce ne sera d'ailleurs qu'une brève anticipation d'une réalité proche…
En attendant la mort, si tu as епvіе de t'occuper à rependre ton fiel sur moi, donne toi-en à cœur joie.
Enfin, cœur joie est en option disparue chez toi, manifestement…
Adieu, l'ami.