Après les remarques, pertinentes, de Micka, quant au texte et quant à l'attitude à avoir envers d'autres que soi, le texte prend, donc, cette tournure, puisque "avec" sonne mal et puisque le point-virgule n'est pas la bonne ponctuation.
Dans le creux du silence, suivant les battements
Des branches des grands arbres ébruitant l'automne,
Ta vегgе enraidie arque - ainsi qu'un métronome -
Ta baguette en balance au fil des errements
Du temps qui s'insinuent, lents, subrepticement,
Et qui parviennent à toi, et réduisent la forme
De tes sens juvéniles à une sèche pomme,
D'un jaune rouillé pâle apprêtant les ferments
Qui défont les langueurs et les belles armatures
D'un gars si Ьіеп mеmЬгé, lançant aux tubulures
De son grand-orgue mâle un basson effronté.
Mais, au cœur de l'hiver, le miroir effondré
Ne reflète qu'extases et souplesses brisées :
Où s'en est donc allé le сhаuԁ des alizées ?
Climax69007, le Vendredi 4 Octobre 2013.
Voilà, merci