Déraciner les gens n'est pas une solution…
Il faut leurs donner la possibilité de vivre chez eux, dans leur famille, leur ville, leur pays.
Cela commence par ne pas aller foutre le bordel chez eux, avec pour principale motivation de capter leurs ressources naturelles.
Ensuite, il faut travailler la coopération entre les états du nord et ceux du sud.
Ce n'est possible que si on a affaire à des structures étatiques suffisamment crédibles, ce qui montre le chemin à parcourir pour arriver à quelque chose de concret.
Je suis contre l’immigration de mаssе, y compris pour raison sanitaire car c'est chez eux qu'il faut aller les soigner.
Chaque fois que l'on se rend chez un médecin africain qui exerce en France, on participe au fait qu'il n'y ait pas de médecine là bas; il faut y penser sérieusement.
L'immigration de mаssе est un mauvais service à rendre aux pays d'où sont issus ces gens et un mauvais service à rendre aux pays d’accueil: Voila ra réalité.
Si un couple vient chez moi à l'improviste, je m'organise pour les accueillir.
S'il sont dix, je n'ouvre pas ma porte; c'est aussi simple que cela.
C'est la même chose avec l'immigration de mаssе.
Accueillir et assimiler des gens venus d'ailleurs, c'est la grandeur d'un pays.
Faire la même chose avec des gens qui seront mal accueillis, exploités, mal logés, en concurrence pour le travail avec des natifs qui ont légitimement le besoin de bosser, c'est une fausse bonne idée.
Il en résulte du communautarisme au lieu de l'intégration, de la délinquance au lieu du progrès social, du dumping du travail au lieu du contrat social, de la pauvreté, de la précarité, du désespoir porteur de dérives idéologiques et d'exactions, aussi bien chez ceux qui arrivent que chez ceux qui les supportent.
Les gens en errance ont besoin de trouver un chez-eux mais aussi ceux qui sont déjà chez eux.
Quantité d'endroit en France ne sont plus la France.
Fort de ce constat, il faut en tirer des leçons et agir en fermant notre pays à des gens que l'on ne ferait pas rentrer à notre domicile.
C'est simplement du bon sens terrien, ce que j'énonce…