Connexion :

Demi-frère. Une très belle histoire d'amour. (page 3) - Homosexualité

Sujet de discussion : Demi-frère. Une très belle histoire d'amour.
  • freaks Membre élite
    freaks
    • 1 juin 2019 à 11:04
    En réponse au message de wolfi :



    Pourquoi voir le mal partout

    il est partout.
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 1 juin 2019 à 11:06
    En réponse au message de freaks :

    En réponse au message de wolfi :



    Pourquoi voir le mal partout

    il est partout.

    Oh toi le mâle malin tu vois le mal partout, diabolique bonhomme
  • spikeman Membre suprême
    spikeman
    • 1 juin 2019 à 11:07
    Une relation entre 2 personnes d'une même fratrie n'est pas plus dégueulasse qu'entre 2 personnes sans lien de sang.

    La société en a fait quelque chose d'immoral pour des raisons purement pratiques. En effet, une population de dégénérés engendrés par consanguinité ne permettrait pas de faire perdurer la race humaine.
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 1 juin 2019 à 11:12
    Sоumіssіоп d'un cas particulier, (le Parisien 17 mars 2007)

    J'expose, je ne prends pas partie, Ok !
    Récit d'une histoire singulière qui divise les Allemands.

    Patrick et Susan sont frère et soeur et ont eu quatre enfants ensemble. Ils ont été condamnés par la justice allemande pour cette relation interdite et Patrick a fait deux ans de prison.

    AU PREMIER regard, c'est une simple
    histoire d'amour entre un homme et une femme, dont on peine à croire, tant ils semblent jeunes,
    qu'ils sont sortis de l'adolescence.
    Patrick S. et Susan K., 30 et 22 ans aujourd'hui, ont déjà
    quatre enfants.
    Mais la relation qui les unit depuis six ans perturbe l'Allemagne, et bien au-delà.
    Patrick et Susan sont frère et sœur.
    S'ils ne portent pas le
    même nom, c'est qu'ils n'ont pas grandi ensemble.

    Patrick, à peine âgé de 4 ans, a été placé
    dans une famille d'accueil, qui l'a finalement adopté et lui a donné son nom. Susan, après avoir
    été elle aussi brièvement placée, a finalement grandi avec leur mère, à Leipzig, et n'a appris
    l'existence de son grand frère qu'à 16 ans. Patrick en a alors 23 et veut connaître ses vrais
    parents.
    La famille, éclatée, a déjà vécu de nombreux drames : un père parti depuis longtemps,
    une soeur décédée peu après la naissance, un frère tué à l'âge de 7 ans, percuté par une voiture.

    Un autre frère, handicapé, mort à l'âge de 8 ans... « Leur famille n'a jamais eu de chance »,
    commente Sven Kuhne, l'un des avocats de Susan.
    Ils sont devenus le symbole d'un combat qui les dépasse

    Peu de temps après avoir réuni ses deux derniers enfants, la mère de Patrick et Susan, cardiaque, succombe à son tour d'une attaque. Le frère et la soeur,
    quasi inconnus l'un à l'autre, se retrouvent sous le même toit, seuls au monde.

    Et tombent amoureux.
    « Tout simplement », comme le répète Patrick aujourd'hui. Erik, leur premier enfant, naît en
    2002. Sarah et Nancy viennent au monde dans la foulée, les deux années suivantes.
    La relation іпсеstuеusе déplaît.
    Dans leur village, les insultes fusent, les ԁоіgts pointent le couple «monstrueux ». Ils déménagent.

    En Allemagne, les relations sехuеllеs entre membres d'une même famille sont punies par la loi. Dénoncé par les services sociaux, Patrick est condamné une première
    fois à une peine de prison avec sursis en 2002. Susan, mineure, échappe à toute poursuite. Leur
    fils aîné est placé en nourrice. Mais avec la naissance des deux autres enfants, difficile de
    nier la récidive : condamné à deux autres reprises, Patrick doit purger un peu plus de deux
    ans de prison. Nancy et Sarah sont à leur tour placées.

    Lorsque son compagnon part derrière
    les barreaux, Susan est enceinte pour la quatrième fois. Pour qu'on ne lui prenne pas son enfant,
    elle accouche seule, chez elle, de la petite Sofia.
    Aujourd'hui, Patrick a purgé sa
    peine, s'est volontairement fait stériliser et vit à nouveau avec Susan, dans un trois-pièces des faubourgs de Leipzig.

    Leur immeuble, une barre de béton coincée entre un
    centre commercial et une voix ferrée, semble un vestige de l'Allemagne de l'Est.
    Sans emploi, sans famille, les jeunes parents voient désormais le monde divisé en deux : ceux qui sont «
    pour eux », et les autres. Un peu malgré eux, qui n'aspirent qu'à « vivre tranquillement »,

    ils sont devenus le symbole d'un combat qui les dépasse.

    Leur avocat a récemment déposé une
    requête auprès de la Cour constitutionnelle allemande, l'une des plus hautes autorités juridiques
    outre-Rhin, pour que les relations sехuеllеs entre frère et soeur ne soient plus punies par la loi. « Cet article de loi est d'un autre âge, soutient Me Kuhne. Deux adultes
    responsables et consentants doivent pouvoir s'aimer librement. »
    En attendant des jours meilleurs, Patrick et Susan tentent de récupérer la garde de leurs premiers enfants.

    Deux d'entre eux sont retardés mentaux.

    Déjà, un livre sur leur histoire est en train d'être écrit.
  • boumvoyageur Membre suprême
    boumvoyageur
    • 1 juin 2019 à 11:13
    En réponse au message de wolfi :

    Non, simplement dans la recomposition familiale un des parents souhaite officiliser la filiation peut être pour des questions successогаlеs ou encore pour que les enfants se sentent en équité auprès des deux parents

    Pourquoi voir le mal partout

    Tu viens d'y répondre ^^ : "dans la recomposition familiale un des parents souhaite officiliser la filiation peut être pour des questions successогаlеs ou encore pour que les enfants se sentent en équité auprès des deux parents"

    Le dernière partie est... "interpellante" ^^ : le lien est là
  • stiky Membre suprême
    stiky
    • 1 juin 2019 à 11:15
    En réponse au message de boumvoyageur :

    En réponse au message de wolfi :

    Non, simplement dans la recomposition familiale un des parents souhaite officiliser la filiation peut être pour des questions successогаlеs ou encore pour que les enfants se sentent en équité auprès des deux parents

    Pourquoi voir le mal partout

    Tu viens d'y répondre ^^ : "dans la recomposition familiale un des parents souhaite officiliser la filiation peut être pour des questions successогаlеs ou encore pour que les enfants se sentent en équité auprès des deux parents"

    Le dernière partie est... "interpellante" ^^ : le lien est là

    Un lien étatique seulement
  • stiky Membre suprême
    stiky
    • 1 juin 2019 à 11:17
    En réponse au message de wolfi :

    Sоumіssіоп d'un cas particulier, (le Parisien 17 mars 2007)

    J'expose, je ne prends pas partie, Ok !
    Récit d'une histoire singulière qui divise les Allemands.

    Patrick et Susan sont frère et soeur et ont eu quatre enfants ensemble. Ils ont été condamnés par la justice allemande pour cette relation interdite et Patrick a fait deux ans de prison.

    AU PREMIER regard, c'est une simple
    histoire d'amour entre un homme et une femme, dont on peine à croire, tant ils semblent jeunes,
    qu'ils sont sortis de l'adolescence.
    Patrick S. et Susan K., 30 et 22 ans aujourd'hui, ont déjà
    quatre enfants.
    Mais la relation qui les unit depuis six ans perturbe l'Allemagne, et bien au-delà.
    Patrick et Susan sont frère et sœur.
    S'ils ne portent pas le
    même nom, c'est qu'ils n'ont pas grandi ensemble.

    Patrick, à peine âgé de 4 ans, a été placé
    dans une famille d'accueil, qui l'a finalement adopté et lui a donné son nom. Susan, après avoir
    été elle aussi brièvement placée, a finalement grandi avec leur mère, à Leipzig, et n'a appris
    l'existence de son grand frère qu'à 16 ans. Patrick en a alors 23 et veut connaître ses vrais
    parents.
    La famille, éclatée, a déjà vécu de nombreux drames : un père parti depuis longtemps,
    une soeur décédée peu après la naissance, un frère tué à l'âge de 7 ans, percuté par une voiture.

    Un autre frère, handicapé, mort à l'âge de 8 ans... « Leur famille n'a jamais eu de chance »,
    commente Sven Kuhne, l'un des avocats de Susan.
    Ils sont devenus le symbole d'un combat qui les dépasse

    Peu de temps après avoir réuni ses deux derniers enfants, la mère de Patrick et Susan, cardiaque, succombe à son tour d'une attaque. Le frère et la soeur,
    quasi inconnus l'un à l'autre, se retrouvent sous le même toit, seuls au monde.

    Et tombent amoureux.
    « Tout simplement », comme le répète Patrick aujourd'hui. Erik, leur premier enfant, naît en
    2002. Sarah et Nancy viennent au monde dans la foulée, les deux années suivantes.
    La relation іпсеstuеusе déplaît.
    Dans leur village, les insultes fusent, les ԁоіgts pointent le couple «monstrueux ». Ils déménagent.

    En Allemagne, les relations sехuеllеs entre membres d'une même famille sont punies par la loi. Dénoncé par les services sociaux, Patrick est condamné une première
    fois à une peine de prison avec sursis en 2002. Susan, mineure, échappe à toute poursuite. Leur
    fils aîné est placé en nourrice. Mais avec la naissance des deux autres enfants, difficile de
    nier la récidive : condamné à deux autres reprises, Patrick doit purger un peu plus de deux
    ans de prison. Nancy et Sarah sont à leur tour placées.

    Lorsque son compagnon part derrière
    les barreaux, Susan est enceinte pour la quatrième fois. Pour qu'on ne lui prenne pas son enfant,
    elle accouche seule, chez elle, de la petite Sofia.
    Aujourd'hui, Patrick a purgé sa
    peine, s'est volontairement fait stériliser et vit à nouveau avec Susan, dans un trois-pièces des faubourgs de Leipzig.

    Leur immeuble, une barre de béton coincée entre un
    centre commercial et une voix ferrée, semble un vestige de l'Allemagne de l'Est.
    Sans emploi, sans famille, les jeunes parents voient désormais le monde divisé en deux : ceux qui sont «
    pour eux », et les autres. Un peu malgré eux, qui n'aspirent qu'à « vivre tranquillement »,

    ils sont devenus le symbole d'un combat qui les dépasse.

    Leur avocat a récemment déposé une
    requête auprès de la Cour constitutionnelle allemande, l'une des plus hautes autorités juridiques
    outre-Rhin, pour que les relations sехuеllеs entre frère et soeur ne soient plus punies par la loi. « Cet article de loi est d'un autre âge, soutient Me Kuhne. Deux adultes
    responsables et consentants doivent pouvoir s'aimer librement. »
    En attendant des jours meilleurs, Patrick et Susan tentent de récupérer la garde de leurs premiers enfants.

    Deux d'entre eux sont retardés mentaux.

    Déjà, un livre sur leur histoire est en train d'être écrit.

    Voilà un cas qui entre dans "le monde est tellement petit" dont je parlais juste avant avec une mini phrase. Ils ne savaient pas. Bref, on fait des lois pour ce qui nous déplaît ou plaît. C'est n'importe quoi. L'éthique sociale est totalement à revoir... Mais les gens sont trop étriqués malheureusement...
  • boumvoyageur Membre suprême
    boumvoyageur
    • 1 juin 2019 à 11:18
    En réponse au message de stiky :

    En réponse au message de boumvoyageur :

    En réponse au message de wolfi :

    Non, simplement dans la recomposition familiale un des parents souhaite officiliser la filiation peut être pour des questions successогаlеs ou encore pour que les enfants se sentent en équité auprès des deux parents

    Pourquoi voir le mal partout

    Tu viens d'y répondre ^^ : "dans la recomposition familiale un des parents souhaite officiliser la filiation peut être pour des questions successогаlеs ou encore pour que les enfants se sentent en équité auprès des deux parents"

    Le dernière partie est... "interpellante" ^^ : le lien est là

    Un lien étatique seulement

    Bien sûr que non

    Dès lors que les parents jouent leurs rôles de parents aimants pour l'avoir vécu dans ce contexte... C pas forcément un lien de sang qui fait tout.
    On peut bien & C fréquent, considérer un beau-père, une belle-mère comme un père ou une mère par sentiment...
  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 1 juin 2019 à 11:21
    En réponse au message de boumvoyageur :

    En réponse au message de stiky :

    En réponse au message de boumvoyageur :

    En réponse au message de wolfi :

    Non, simplement dans la recomposition familiale un des parents souhaite officiliser la filiation peut être pour des questions successогаlеs ou encore pour que les enfants se sentent en équité auprès des deux parents

    Pourquoi voir le mal partout

    Tu viens d'y répondre ^^ : "dans la recomposition familiale un des parents souhaite officiliser la filiation peut être pour des questions successогаlеs ou encore pour que les enfants se sentent en équité auprès des deux parents"

    Le dernière partie est... "interpellante" ^^ : le lien est là

    Un lien étatique seulement

    Bien sûr que non

    Dès lors que les parents jouent leurs rôles de parents aimants pour l'avoir vécu dans ce contexte... C pas forcément un lien de sang qui fait tout.
    On peut bien & C fréquent, considérer un beau-père, une belle-mère comme un père ou une mère par sentiment...

    Tout à fait, je pense que les liens du cœur sont plus forts que les liens du sang
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 1 juin 2019 à 11:24
    Alors quand au cœur s'ajoute le Ԛ que demande le peuple
    bon pour des questions de dégénérescences de l'engeance je
    préconise l'usage du

    Dans le cas du sujet particulier que j'expose ci dessus, voilà le résultat:
    Deux d'entre eux sont retardés mentaux.

Pas encore inscrit(e) ? Créez votre profil en quelques clics seulement et profitez !