Je n'avais même pas perçu, Hermann_à-mes_côtés, la boiterie
du permiers vers !
Les chevilles des "et" : oui, mais c'est pour moi une manière de relancer le mouvement ; je ne parviens pas encore à en faire un élément inexprimé, intégré dans ma pensée, agissant cependant ; je conçois bien, qu'à force, cela saute aux yeux lancinant et lourd, e que j'obtienne le contraire d'une relance !
Le "euh" dit muet est une calamité de la langue française
; ceci étant, l'exécration étant faite, comment réduire ces disgrâces des sonorités vides, traînantes et mugissantes : mais au cas par cas, mon cher Climax, sinon ce sera le fouet de la lourdeur !
Quant à la pluralité des mesures, je suis bien d'accord, mais je suis dans la crainte (devant la liberté ?)
Peu importe le travail accompli, s'il n'aboutit qu'au médiocre, tu le sais bien ; le travail reste, avec ses défauts.
C'est moi, aussi, qui te remercie, sincèrement, pour avoir passé du temps et avoir pris de la peine à me lire, pour me dire des défauts majeurs, récurrents ; ce type de lecture, qui partage les impressions et les remarques stylistiques, est précieux, Hermann_à_mes_côtés, et tellement rare, même sur un site littéraire, où il y a trop de complaisances et point assez de critiques fondées en raison, dans le souci du progrès des auteurs.
Oui, sur le site où je réédite des textes écrits ici, la vraie critique semble un attentat à l'égo ; or, l'égotisme véritable, est de recevoir la critique bienveillant et fondée, bienveillante car fondée, afin de mieux écrire avec distinction et pertinence quant à l'objet traité.
Merci, allez, je te claque deux ou trois bises,
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Serge