Eh bien, Bel-Ami, si ces textes passent l'épreuve de la diction огаlе, tout le reste - antérieur - n'aura pas été vain.
Il n'y a, en effet, pas d'état de poésie définitif.
Il y a beaucoup de poses (en moi), d'écritures dans l'esprit de ..., de confiances excessives dans la rime qui apporte le mot, etc., etc., bien des défauts !
Mon espoir est d'atteindre à la fontaine originaire, de me couler dans son courant, de me laisser porter par la vie du langage (rien que ça
, oui rien que ça).
Quant à Simon, entre pouvoir et vouloir l'oublier, cela se joue, oui ; vouloir l'oublier, pour que je vive, oh vouloir le mettre de côté ; et pouvoir me détacher, ce qui est une déchirure.