L'onrencontre parfois des comportements étranges, aux préceptes bien trop érigés, rigides comme souvent sont les monuments a l'orgueil du monde et de sesconquêtes, militaires et intellectuelles.
Nous nous confrontons souvent a ces contemporains trop ancrés dans leur vision étriquée des convenances et usages.
N'est ce pas vanité que de vouloir régenter le cours de la société et de moraliser quelques uns de nossemblables selon notre vision des choses, et ainsi se satisfaire d'avoir flatté son ego?
Toutes les règles essentielles de vie sociale mises a part.
Vanité du monde
" Ce n'est par parce qu'il est créé, mais parce qu'il est temporel que le monde dévoile son néant "
François René deChateaubriand
Fort de cet enseignement, pourrait on entrevoir par moment, un pause dans ledictât que nous impose les fats et les orgueilleux ?
Rien est acquis, tout est a perdre, la vacuité des esprits parait être une norme devenue universelle.
Doit on marteler sans cesse qu'il est important de restaurer le respect de l'autre, et de lui admettre un espace ou il peut s'ébattre ?
Deux belligérants n'ont de cesse de diminuer et de faire perdre la face a l'adversaire, n'y a-il pas une manière plus efficace et intelligente de se comporter ?
Paradoxe
" La vertu n'irait pas loin si la vanité ne lui tenait compagnie "
François de laRochefoucauld
Que doit on retenir de cette citation ?
Que le postulat est sensé si l'humilité accompagne l'action, rien ne se fait sans innovation, dans les techniques ou dans les arts, cela devient sans doute le résultat d'une forme de prise de risque qui n’altérerait pas les rapports humains et ferait la part belle au "progrès"
Ou bien, l'altruisme est une résultante nauséabonde de la vanité, recherchant gloire et reconnaissance.
A débattre.
Ce sujet m'a été inspiré par un petit différend vécu cette semaine sur le forum.
Vous me prenez en flagrant délit de vanité en vous exposant ces quelques lignes de réflexions somme toute assez sommaires.