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Gute Nacht- Schubert (page 2) - Musique & cinéma

Sujet de discussion : Gute Nacht- Schubert
  • nigivir Membre élite
    nigivir
    • 4 août 2014 à 22:45
    Merci Wanderer.

    Je dois impérativement revoir les films de Tarkovski.
  • jiminy Membre émérite
    jiminy
    • 4 août 2014 à 23:33
    Bonsoir Wanderer,

    Oui, ce "Wanderer" chanté par Hotter était bien une dédicace perso vu ton pseudo !

    J'espère vivement et sincèrement que viendra le jour où tu seras touché par la révélation DFD car il a été on peut dire une exception rare à obtenir une telle qualité dans son travail, travail et art auxquels j'ai toujours été très réceptif, sensible et ADMIRATIF.

    J'ai assisté un soir à un récital de DFD, accompagné par Sviatoslav Richter au piano, interprétant "La Belle Maguelone" de Brahms.
    Ce fut un choc très émouvant : beauté de l'interprétation, chaque lied avec son propre climat et ses couleurs de voix, beauté poétique, beauté du phrasé où rien n'était ''savonné'', osmose jubilatoire entre pianiste sublime et chanteur d'exception...
    Bref, soirée de rêve encore vivace en ma mémoire.

    J'ai sérieusement découvert la voix, en dehors et après Mado Robin, avec Elisabeth Schwarzkopf, et son art, typique représentante de l'Ecole Viennoise, et l'adorais depuis, et me délectais de tout ce je pouvais écouter d'Elle.

    De cette illustrissime style de l'Ecole Viennoise, tu dois certainement connaître Christa Ludwig, Rita Streich, Irmgard Seefried, Anton Dermota, Herman Prey, Joseph Rety, Gundula Janowitz, Edita Gruberova, pour ne citer qu'eux; et j'en passe à regret, ne pouvant tous les nommer.

    J'adhère TOTALEMENT à ce style de chant qui me convient et donne des joies ргоfопԁеs.

    J'avais été scotché il y a fort longtemps par ''Andrei Roublev'', superbe fresque en noir et blanc, à l'esthétisme étonnant et à l'histoire hors norme.
    Suis content de voir qu'il y a encore des jeunes que cela intéresse !
  • napolion Membre confirmé
    napolion
    • 5 août 2014 à 00:55
    Ha je dois admettre qu'un récital Fischer-Dieskau/Richter, ça fait rêver quand même. ( Richter) Ça paraît presque irréel. Privilège de l'âge que d'avoir pu assister à de tels moments historiques.

    Je ne connais pas, ou à peine, la moitié des chanteurs que tu cites, je vais m'atteler à les découvrir. J'entrevois ce que peut être cet esthétisme viennois avec Elisabeth Schwarzkopf, à plus forte raison que j'ai avec elle le même problème qu'avec Fischer-Dieskau. (Pour le moment, hein. ) Eternel paradoxe : l'art procède de l'artifice c'est entendu, et néanmoins mon coeur va vers des artistes plus intuitifs, ou qui du moins donnent le sentiment de l'être.

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