Homophobie familiale (page 3) - Homosexualité

En réponse au message de newaix :

Bonjour Textoo,
Oui en effet brisée. Circonstances aggravantes: il y a en plus beaucoup de "prédateurs" qui profitent de la détresse de ces jeunes et c est plus "brisée" mais " pulvérisés" dans ces cas là...

Le triste résultat de cette situation, comment se construire après ces rejets ?

En réponse au message de wolfi :


Vouloir en plus, faire mal et blesser voir encore plus être menaçant sur l'intégrité d'une personne, me révolte et je n'arrive toujours pas à comprendre la moindre parcelle de ces actions violentes

Rien ne peut justifier de telles réactions, de plus de la part de ses parents !

Bonjour Coucou

En réponse au message de coucoumevoilou :

O secours !

Au secours oui, des dangers ces gens là !

Bonjour Lessi

En réponse au message de lessismore :

C’est tjrs en famille que se passent les pires trucs....

Malheureusement constaté ...

Il y a 24 ans, ce "refuge" n existait pas.
Il y a 24 ans, j ai connu la pire année de ma vie
Il y a 24 ans je tentais de relever la tête et attendais la fin des marchés pour me nourrir des légumes et des fruits un peu pourris laissés par les maraîchers
Il y a 24 ans, suis passé devant chez moi, espérant qu il me prenne dans ses bras
Il y a 24 ans, suis passé devant chez eux, parce que ce n était plus chez moi
Il y a 22 ans, j avais un taf, je continuais mes études et j étais hébergé par un регvегs qui pensait que mon orientation sехuеllе faisait de moi un ргоstіtué
Il y a 22 ans j ai réussi à avoir un petit studio en seine et marne et réussi surtout à me dresser devant ce регvегs car il n avait jamais réussi à me toucher.
Il y a 20 ans j ai tenté d appeller mon père il avait changé de numéro
Il y a 15 ans j ai tenté de lui parler d homme a homme mais contrairement au téléphone fixe, lui n avait pas changé.

Il y a des dates qui sont gravés dans la mémoire des gens
La mort de mon père, j arrive pas à l imprimer
C Était peut être il y a 24 ans ou il y a peu.

Je ne fais pas l amour, je Ьаіsе
Je ne dis pas je t aime, je dis "prends moi"
Je crois que je m autorise pas à aimer.

En réponse au message de sim.s-heart :

En réponse au message de wolfi :

Je peux comprendre le rejet par l'indifférence, ce qui est déjà dur en soit à accepter, à vivre
J'arrive cependant à comprendre que certains puissent être dépassé dans leur compréhension ou acceptation de ce qui peut l'être pour eux mêmes.

Vouloir en plus, faire mal et blesser voir encore plus être menaçant sur l'intégrité d'une personne, me révolte et je n'arrive toujours pas à comprendre la moindre parcelle de ces actions violentes

Commence par utiliser un vocabulaire plus adéquat pour nommer les hоmоsехuеls

Commence donc par regarder les définitions mais aussi entendre tous les gays sauf Toi dire PD

« Pédé » est un terme familier désignant un hоmоsехuеl masculin1. Le plus souvent péjoratif, il est parfois assumé par les gays comme diminutif d'auto-désignation, sans connotation injurieuse.

Étymologiquement, le mot est une apocope de « pédéraste », un terme employé à l'origine pour désigner la relation particulière entre un homme mûr et un jeune garçon dans la Grèce antique, non seulement dans le domaine sехuеl mais aussi éducatif.

Apparu en langue française au XVIe siècle au sens d’« amour des garçons », il connaît rapidement une série de glissements sémantiques qui l’éloigneront considérablement de sa signification première.

C'est au XIXe siècle que le terme de pédéraste se diffuse plus largement en prenant la valeur erronée d'« hоmоsехuеl »3.

Le diminutif « pédé » apparaît quant à lui vers 1836, suivi de sa féminisation « pédale » vers 1935, pédoque en 1953 et péd en 1972.

On voit apparaître dès la fin des années 1990 une nouvelle actualisation du terme relative au rapide développement du verlan : « dep ».

Si tu finissais par t'assumer et te comprendre

Bonjour Freaks

En réponse au message de freaks :

Il y a 24 ans,.

Je dois avouer que j'ai pensé à toi en lisant ce récit ...

En réponse au message de textoo :

Bonjour Freaks

En réponse au message de freaks :

Il y a 24 ans,.

Je dois avouer que j'ai pensé à toi en lisant ce récit ...

Ça fait du bien d en parler quelque fois.
Ça me remet les idées et les sentiments en place.

La violence des paroles rapportées des parents me sidère. Le fils dit ressentir de la haine. Encore heureux ! Que ses parents aillent bien se faire foutre !

En réponse au message de freaks :

En réponse au message de textoo :

Bonjour Freaks

En réponse au message de freaks :

Il y a 24 ans,.

Je dois avouer que j'ai pensé à toi en lisant ce récit ...

Ça fait du bien d en parler quelque fois.
Ça me remet les idées et les sentiments en place.

Je pense aussi que le dialogue peut apporter un soulagement, si petit soit-il ...