Horrible (page 3) - Le "Blabla" bar

Enfin, je constate que personne n'évoque l'aspect pathologique : ce sont des gens malades.
Je constate que personne n'évoque le combat d'une grande partie de ces patients pour ne PAS passer à l'acte, et le taux proprement effarant de suicides parmi ces gens.
J'affirme que la seule répression des effets horribles (là oui c le mot) d'une pathologie ne solutionne en rien ladite pathologie, et ne permet en aucun cas de la soigner, car quelle meilleure solution que de soigner les рéԁорhіlеs ?

Justement pour moi, quand on a pas le choix, ils n'ont rien à faire en prison, mais en hôpital psychiatrique. Et au pire à vie.

Christelle.

Ben oui, au pire... pour les vraiment dangereux...
Faut bien protéger les n'enfants...
Et juste comme ça en passant : 70% des détenus français relèvent de la psychiatrie...

Mais, puisque c'est une maladie, où en est la recherche médicale ???
Quels efforts fait-on pour trouver des remèdes ?
Est-ce que les soins sont remboursés par la Sécu ?

Si on ne se pose pas ce genre de questions, je doute qu'on ait vraiment епvіе que ça change...

J'affirme que la seule répression des effets horribles (là oui c le mot) d'une pathologie ne solutionne en rien ladite pathologie, et ne permet en aucun cas de la soigner, car quelle meilleure solution que de soigner les рéԁорhіlеs ?

J'me relis et je précise que dans horrible, je pense autant aux petites victimes (pas trop longtemps, c'est trop dur) des monstres qu'aux autres victimes.
Evidemment que je partage répugnance et colère vis à vis d'un Dutгоux ou autre,
mais le nonosse qu'on nous jette à ronger sent vraiment trop la carotte... du verbe carotter...