"I be so glad, when the sun goes down" (page 4) - Musique & cinéma

Je n'avais pas l'intention particulière de nourrir un débat politique, Climax, mais le hasard de calendrier entre ce topic d'еsсlаvеs noirs et cette actualité nauséabonde, m'a poussé à en toucher un mot à titre informatif.

En réponse au message de greenary2 :

Je n'avais pas l'intention particulière de nourrir un débat politique, Climax, mais le hasard de calendrier entre ce topic d'еsсlаvеs noirs et cette actualité nauséabonde, m'a poussé à en toucher un mot à titre informatif.

Mais, Grenary, avec toi, je peux discuter tant que tu veux, là n'est pas le problème, tu ne me prendras pas la tête avec des considérations oiseuses sur ceci, cela, le pape, les cigognes, les éléphants roses, les ргésегvаtіfs (vous ne voyez pas le rapport, moi non plus, tel est le but de certains "débats") pour finalement me tailler un costume d'adorateur de Staline et de la famille Kim de la Corée du Nord, voire de nazi génocidaire (je rappelle un passé proche et des propos d'Archaon).

Y a pas de lézard, du tout, Greenary, je t'assure, et j'ai bien pris ton annonce comme une illustration tragique de ce topique.

pour finalement m'affubler en communiste génocidaire, voire en nazi

Je ne vois pas de quoi tu veux parler, Climax.

La ville, Charleston, en Caroline du Sud, où a lieu le fusillade faisant neuf morts dans une église de fidèles afro-américains,

est une ville connue

pour avoir donné un rythme spécifique et une danse particulière, aux confluents du blues et du jazz (qui réussira jamais à distinguer les deux, vraiment ???).




"THE CHARLESTON BLUES" :



Pas très "hоt" mais, quand même...

Une remarque à propos du racisme : ce n'est pas une affaire idéologique et de préjugés (la haine raciste précédant même le préjugé conscient) ; apparemment, le racisme se cristallise en représentations négatives d'un Autre diabolisé (ce que l'on voit très bien dans la pièce de Jean-Paul Sartre, "La рutаіп respectueuse) ; ce n'est pas une affaire entre "races" (ce sont justement ces "races" humaines que le racisme voudrait établir) ; ce n'est pas une affaire entre "blancs" et "noirs" (les manifestants aux EUA, révoltés par l'impunité des policiers assassins, sont de toute pigmentation) ; le racisme est le symptôme d'une société d'exploitation, qui a besoin et d'inférieurs, et de forces de travail salariées (le moins possible salariées), et d'emprisonner, et de tuer, créant un semblant d'entre-soi excluant dans les cercles de l'enfer un Autre (un groupe humain).

Voilà ce que je comprends du racisme.

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Les églises, par leur culte et leur chœur, on le sait, auront permis au Noirs de se réunir et de parfaire la conscience de leur malheur, quand bien même la religion renvoie le salut à une vie après la vie.

Quoi qu'il en soit, ce sont ces chœurs des églises qui, nous donnant les "negro spirituals", ont institué ce genre à part entière, parent du blues et du jazz, au travers de grandes voix, qui ont toute la vibration du sentiment le plus éprouvé.


Mahalia Jackson en est la voix la plus justement célèbre.



La liste des chants avec le découpage chronologique du disque !

1. I Will Move On Up A Little Higher 0:00
2 Nobody Knows the Trouble I've Seen 5:27
3 What a Friend We Have in Jesus 9:14
4 Come on Children, Let's Sing 13:21
5 There Is a Balm in Gilead 15:18
6 How I Got Over 20:59
7 Trouble of the World 27:40
8 Walk in Jerusalem 32:26
9 In The Upper Room 35:06
10 Didn't It Rain 42:20
11 My Ԍоԁ is real (Yes, Ԍоԁ is real) 44:59
12 Walk Over Ԍоԁ's Heaven 48:37
13 His Eye Is On The Sparrow 51:12
14 I Found The Answer 55:37
15 Oh Lord Is It I ? 59:56
16 Lord's Prayer 1:02:45

"Project for a teaching sample on slаvе culture.
All images from a simple Google image search.
Music from an educational cd on the Underground Railroad."