Deux de ses films m'ont captivés ou traumatisé:
Ville à vепԁге: J'ai eu la chance d'assister à des bouts de tournage.
Mocky en jeans сгаԁо, mal rasé, en train de hurler sur les acteurs.
Des subtilités de tournages qui n'apparaissent que si on connaît l'environnement du film.
Par exemple, l'intérieur d'un café est filmé et l'extérieur d'un autre et, au montage, c'est un seul café.
Une ambiance lourde qui était un peu sa patte que l'on retrouve bien dans ce film et sert bien le sentiment de casse sociale.
Les Ballets écarlates: Film dur traitant de la рéԁорhіlіе mondaine.
Là aussi, une ambiance terrible qui m'a fait arrêter le visionnage, tellement le film me prenait à la gorge…
Un mec emporté, pas commode mais aussi une griffe cinématographique qu'il n'a copié de personne et une équipe d'acteurs qui, paraît-il, a souvent joué sans cachet pour le рlаіsіг de la création artistique et le sentiment de faire quelque chose qui n'existait pas ailleurs.