En réponse au message de wolfi :
Je ne sais pas sticky si c'est être une petite nature, ainsi je reste marqué à vie en étant tombé un soir sombre en nez à nez, enfin non ! nez à néant avec un djiboutien atteint de la lèpre.
J'avais 18 ans et sortait dans les bas fonds de Djibouti aussi après j'en ai rencontré d'autres
Mais celui ci qui n'avait plus de nez et un énorme tгоu en ces lieux et place ainsi que d'une joue, reste à jamais gravé dans mes yeux
Je savais cela en allant voir au revoir là-haut et ca ma éЬгапlé
Alors les 2 vidéos reportages sont très bien, à donner et partager bien sur, tkt Amaury je trouve très bien que tu abordes ce sujet éprouvant pour ces personnes atteintes
Je suis content que tu relances cet abord de ce sujet de société, pour les gueules cassées comme pour les lépreux
J'ai déjà essayé en pensée de me mettre à leurs places, ça m'est très difficile à supporter
De plus je suis un sensible au physique des personnes
Pour référence du livre en édition de poche: Pierre Lemаîtге "Au revoir là-haut1ere pub. avril 2015 réédite septembre 2016 N° 33655
On ne peut se mettre a la place d'une personne qui souffre, ce serait indescent de vouloir le faire et éventuellement lui dire d’être courageux (euse).
On peut juste prendre réalité de sa douleur et la respecter.
Les difficultés de l’âme sont très grande dans ces cas là.
Il y a aussi des malformations fасіаlеs congéпіtаlеs, qui font des êtres touchés des phénomènes de foire aux yeux des gens, ce sont pourtant des personnes, qui souffrent...