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♣ La nature reprend ses droits ♣ (page 13) - Le "Blabla" bar

Sujet de discussion : ♣ La nature reprend ses droits ♣
  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 31 mars 2020 à 15:21
    et donc ? soit ! et alors ! nous l'espèce humaine la plus grande consommatrice et aussi la plus exterminatrice de la planète !!!!
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 31 mars 2020 à 15:30

    A la veille du sommet de Copenhague sur les changements climatiques, une étude Australienne sur la consommation énergétique de nos animaux domestiques sonne l'alerte. Tout au long de son existence, un сhіеп de taille moyenne serait deux fois plus énergivore qu'un 4x4 ! Décryptage de la Fondation 30 Millions d'Amis.


    Un couple d'architectes néozélandais, Robert et Brenda Vales, spécialistes des modes de vie durables pour l'université Victoria à Wellington, la capitale néo-zélandaise, a publié une étude sur la pollution engendrée par les animaux de compagnie. Ou plus exactement, leur empreinte carbone. Cette étude, parue sous forme de livre, a d'ailleurs été baptisée "Mangez votre сhіеп, un guide pour un mode de vie durable" (sic !). Bilan : les сhіепs et les chats, en plus de dévaster des niches écologiques et d'aider à la propagation des pires virus, seraient des gouffres d'énergie.


    Du сhіеп ou de la voiture, lequel pollue le plus ?

    Et c'est preuves à l'appui que le couple défend sa position. Pour mesurer une empreinte carbone, les Vales ont analysé les différents composants de la nourriture de chacun des animaux de compagnie. Ils ont ainsi calculé qu'un сhіеп de taille moyenne consomme 90 grammes de viandes et 156 grammes de céréales dans sa ration quotidienne déshydratée, soit près de 300 grammes par jour. Une fois réhydratée, cette nourriture multipliée par autant de jour qu'en contient l'année donne une consommation de 164 kilos de viandes et 95 kilos de céréales. A ce premier calcul, il faut additionner le suivant à savoir que pour produire 1 kilo de poulet par an, il faut compter 43,3 m2 de terre, et 13,4 m2 pour faire produire 1 kilo de céréales. A partir de ces données, on peut calculer l'empreinte carbone de l'animal. C'est ainsi qu'on s'aperçoit qu'un сhіеп de taille moyenne laisse une empreinte carbone de 0,84 hectares, chiffre qui s'élève à 1,11 hectares s'il s'agit d'un berger allemand.

    Dans le même temps, les Vales ont roulé pendant un an avec un 4x4 Toyota Land Cruiser - l'un de ces tous terrains urbains tant décriés par les écologistes - lui faisant parcourir 10 000 kilomètres à une vitesse raisonnable. A leur grande surprise, celui qui consommait le plus d'énergie n'était pas l'automobile, mais le сhіеп ! L'empreinte carbone du véhicule, après la conversion des gigajoules d'énergie nécessaires à son fonctionnement, est de 0,41 hectares, soit moitié moins que l'animal.

  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 31 mars 2020 à 15:31

    SUITE ...


    Qui consomme quoi ?

    Pour les deux universitaires néo-zélandais, l'empreinte carbone d'un сhіеп - on vient de le voir - serait comprise entre 0,84 et 1,11 hectares ; celle d'un chat, de 0,15 hectare, soit un peu moins qu'une Golf Volkswagen ; de 0,014 hectare pour le hamster, soit seulement deux fois moins qu'un écran Plasma ! Quant au canari, son empreinte carbone serait de 0,007 hectare contre 0,00034 hectare pour le poisson rouge...

    Les Etats-Unis sont, avec 76 millions de chats et 61 millions de сhіеп, les premiers possesseurs d'animaux domestiques loin en tête devant la France qui est en deuxième position avec 9 millions de сhіепs et 11 millions de chats. En additionnant les populations félines des 10 premiers pays propriétaires de chats, il faudrait une surface de 400 000 km2 - soit un peu moins de la superficie de la France, le plus grand pays d'Europe - pour pouvoir satisfaire aux besoins en nourriture de ces félins. Quant à assouvir les besoins du Top 10 canin, il faudrait une superficie équivalente à l'Alaska, soit deux fois et demi la France !

    Environnement en péril

    L'impact environnemental des animaux de compagnie ne s'arrêterait pas là. Les déjections félines et canines pourraient être la cause d'une grave augmentation du nombre de germes et de bactéries dans les rivières et les cours d'eau. Ainsi à Nashville, Tennessee, des scientifiques américains ont relevé une inflation remarquable des germes présents dans les cours d'eaux de la ville le lendemain de pluies diluviennes. Germes présents en particuliers dans les selles de chats.


    Ce sont d'ailleurs ces mêmes selles qui sont incriminées dans la contamination par la toxoplasmose des mammifères de bord de mer, en Californie. Une épidémie de décès suite à d'importantes tumeurs au cerveau a particulièrement touché ces populations en 2002. Premières à en pâtir, les loutres, puis les dauphins et les baleines. Des espèces pourtant protégées. La contamination s'est faite parce que les propriétaires de chats avaient pris l'habitude de vider les litières dans les toilettes, dont les eaux usées partaient directement dans l'océan.


    .../....

  • ever Membre élite
    ever
    • 31 mars 2020 à 15:32

    zzz.pngzzz.pngzzz.png

  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 31 mars 2020 à 15:33
    En réponse au message de ever :

    zzz.pngzzz.pngzzz.png


    j'hallucine ! scream.pngno comment !


  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 31 mars 2020 à 15:33

    Seules conclusions de 30M d'amis:

    La Fondation 30 Millions d'Amis s'est - bien sûr - interrogée sur l'impact d'un tel argumentaire. "Les scientifiques aiment s'amuser et cette étude, pour intéressante qu'elle puisse être, n'est pas réalisée selon un protocole scientifique sérieux, plaide Reha Hutin.

    Elle semble directement viser les propriétaires de сhіепs et de chats. C'est cette mire qui est dangereuse et nous ne devons pas oublier qu'on peut faire dire aux chiffres ce que l'on veut. Malheureusement, ces scientifiques n'ont pas mesuré l'impact positif des animaux sur leur mаîtге : baisse de la tension, diminution des maladies cardiovasculaires et des dépressions, facilité de sociabilisation... Il faut instruire à charge et à décharge !"


    Amusez vous bien et maudissez moiscream.png il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veux pas voir.

    Difficile de remettre en cause ce qui arrange, c'est pour tout le monde pareil


    lien

    www.сhіеп.com/le-сhіеп-50/сhіепs-chats-l-impact-ecologique-de-nos-animaux-de-compagnie-12802.php

  • sim.s-heart Dieu tout puissant
    sim.s-heart
    • 31 mars 2020 à 15:57
    En réponse au message de wolfi :

    Seules conclusions de 30M d'amis:

    La Fondation 30 Millions d'Amis s'est - bien sûr - interrogée sur l'impact d'un tel argumentaire. "Les scientifiques aiment s'amuser et cette étude, pour intéressante qu'elle puisse être, n'est pas réalisée selon un protocole scientifique sérieux, plaide Reha Hutin.

    Elle semble directement viser les propriétaires de сhіепs et de chats. C'est cette mire qui est dangereuse et nous ne devons pas oublier qu'on peut faire dire aux chiffres ce que l'on veut. Malheureusement, ces scientifiques n'ont pas mesuré l'impact positif des animaux sur leur mаîtге : baisse de la tension, diminution des maladies cardiovasculaires et des dépressions, facilité de sociabilisation... Il faut instruire à charge et à décharge !"


    Amusez vous bien et maudissez moiscream.png il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veux pas voir.

    Difficile de remettre en cause ce qui arrange, c'est pour tout le monde pareil


    lien

    www.сhіеп.com/le-сhіеп-50/сhіепs-chats-l-impact-ecologique-de-nos-animaux-de-compagnie-12802.php


    J'ai lu tes pavés jusqu'à la fin car plutôt intéressant mais j'suis pas convaincu par les arguments avancés !!!

  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 31 mars 2020 à 16:00

    fort heureusement cela n'est qu'une source et non la pensée unique et le juge de paix ! sans cela à quoi bon d'être sur Terre ! scream.png


  • spikeman Membre suprême
    spikeman
    • 31 mars 2020 à 18:38

    J'ai aussi tout lu jusqu'au bout.

    Même si l'étude n'est pas officielle, on ne peut pas ignorer que pour nourrir un animal de compagnie, c'est toute une industrie qui est mise en place, et que cette industrie pèse sur le bilan carbone (occupation des sols, production, transport,...).

    Et que ne plus avoir d'animaux de compagnie serait un bénéfice pour l'écologie.


    Quant à l'argument de Hutin concernant le bienfait que ça amène à l'humain (moins de dépression,...) cela montre bien que l'on fait passer le petit bien-être de l'homme avant l'écologie. Et tant que ce sera comme ça, l'écologie n'ira pas mieux.


    Et puis le chat, il s'en fout. Il a rien demandé, pas même que l'homme le domestique (toujours pour son рlаіsіг).


    Metalou, tu as aussi raison pour les véhicules.

    La aussi on piétine l'écologie pour satisfaire son ego.

    Et la liste est longue. Cela occuperait quelques pages pour la faire.

  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 31 mars 2020 à 18:46
    En réponse au message de spikeman :

    J'ai aussi tout lu jusqu'au bout.

    Même si l'étude n'est pas officielle, on ne peut pas ignorer que pour nourrir un animal de compagnie, c'est toute une industrie qui est mise en place, et que cette industrie pèse sur le bilan carbone (occupation des sols, production, transport,...).

    Et que ne plus avoir d'animaux de compagnie serait un bénéfice pour l'écologie.


    Quant à l'argument de Hutin concernant le bienfait que ça amène à l'humain (moins de dépression,...) cela montre bien que l'on fait passer le petit bien-être de l'homme avant l'écologie. Et tant que ce sera comme ça, l'écologie n'ira pas mieux.


    Et puis le chat, il s'en fout. Il a rien demandé, pas même que l'homme le domestique (toujours pour son рlаіsіг).


    Metalou, tu as aussi raison pour les véhicules.

    La aussi on piétine l'écologie pour satisfaire son ego.

    Et la liste est longue. Cela occuperait quelques pages pour la faire.


    Même si l'étude n'est pas officielle, on ne peut pas ignorer que pour nourrir un animal de compagnie,
    c'est toute une industrie qui est mise en place, et que cette
    industrie pèse sur le bilan carbone (occupation des sols, production,
    transport,...).
    OUI MAIS PAR L ' HOMME
    Et que ne plus avoir d'animaux de compagnie serait un bénéfice pour l'écologie.


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