En réponse au message de spikeman :
En réponse au message de seiza :
bisous ! ![](/img/smileys/star.png)
Bisous mon lapin. J'ai fait ce que j'ai pu pour sauver ton âme.
Comment expliquer, à un jeune homme, qui veut avoir raison, et veut ne rien devoir à personne, qu'il débat avec mauvaise foi, qu'il a usé d'un mot avec imprécision et - l'on présume avec une grande probabilité - en étant dans l'erreur quant à sa signification ?
C'est bien la première fois que je vois écrire de la mort qu'elle serait inaltérable : sa soif, oui, est inaltérable ; on ne peut la désaltérer ! Des centaines de milliards d'individus animaux sont morts ! Voilà pour l'Allégorie, La Mort !
La mort n'est rien : quand nous y sommes, la mort n'y est pas mais procède comme un événement inéluctable (qui ne peut être évité à l'infini) et quand nous n'y sommes plus du fait de notre mort accomplie, la mort n'est pas en nous, car nous ne ressentons plus d'états sensibles ; ce qui était moi a changé de nature, est devenu une chose se dégradant, et la mort-résultat, certes, n'est pas inaltérable, puisqu'elle est un processus de modifications chimiques. Voilà pour le point de vue épicurien quant à la mort processus, résultat et métaphysique (la vue du processus et du résultat des morts affectant les vivants "qui restent", et lance le petit vélo de leurs imaginations)..
Nous arrivons, avec cet "inaltérable", à la Mort métaphysique (dont nous ne savons rien et imaginons beaucoup) : les processus de la mort ne sont pas inaltérable, les manières sont multiples, et les résultats plus ou moins pourrissants (le corps des cancéreux se délitent à une très grande vitesse !)
Je ne vois d'inaltérable que la Mort métaphysique, dont nous ne savons rien et imaginons beaucoup !
Bref, je réfléchis, un peu ; ensuite, un individu
pourra gloser, se moquer, mettre des cœurs
et saluer l'apparence du dernier mot remporté,
comme un champignon parasite prolifère sur les troncs :
après tout sa méchanceté reçoit son salaire
immédiat en un Moi faussement gonflé de vanité !