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La tolérance dans le milieu homo (page 5) - Le "Blabla" bar

Sujet de discussion : La tolérance dans le milieu homo
  • yoomy33 Membre émérite
    yoomy33
    • 18 février 2020 à 21:47
    En réponse au message de craig_lyner :

    nimporte quoi ! lol



    Quoi? open_mouth.png x

  • yannboy95 Membre suprême
    yannboy95
    • 18 février 2020 à 21:54
    En réponse au message de craig_lyner :

    bien sache que cette personne n'a rien dans la caboche moi je te trouve très jolie !!!! tant pis pour les jalouses !!!!



    j'suis entierement d'accord avec cyril , tu es une des plus jolies filles qui montrait sa tete , donc tu n'as pas avoir honte et a te cacher derriere un avatar , montre que tu es la

  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 18 février 2020 à 21:55
    En réponse au message de yannboy95 :

    j'suis entierement d'accord avec cyril , tu es une des plus jolies filles qui montrait sa tete , donc tu n'as pas avoir honte et a te cacher derriere un avatar , montre que tu es la


    tu parles de Cyriljoy.png

  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 18 février 2020 à 21:56
    En réponse au message de wolfi :

    tu parles de Cyriljoy.png


    oui je suis mignonne lol


  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 18 février 2020 à 21:58
    En réponse au message de craig_lyner :

    oui je suis mignonne lol



    faut avouer et je le fais que ta photo avec les deux rats, tu as de beaux yeux de chat qui vient d'attraper son dînerhamster.pngmouse.png

  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 18 février 2020 à 21:59
    En réponse au message de wolfi :

    faut avouer et je le fais que ta photo avec les deux rats, tu as de beaux yeux de chat qui vient d'attraper son dînerhamster.pngmouse.png


    ah oui je n'avais pensé à ça think.pngjoy.pnginnocent.png


  • yannboy95 Membre suprême
    yannboy95
    • 18 février 2020 à 22:01
    En réponse au message de craig_lyner :

    ah oui je n'avais pensé à ça think.pngjoy.pnginnocent.png



    beurkkkkkk

  • bjorkio Membre pionnier
    bjorkio
    • 18 février 2020 à 22:05

    Nous représentons un sous-groupe de la société qui se trouve en marge, alors certes, les mentalités évoluent, et cette ostracisation est moins pire qu'elle n'a pu l'être par le passé, mais elle existe toujours. En 2020, être gay/lesbienne, et surtout tгапs, c'est signer malgré soi pour en chier plus qu'un(e) hétéro. Le stigma est réel, que l'on soit un cliché ambulant (auquel cas cela devient un stigma visible) ou non. Sachez même qu'un stigma invisible est plus délétère pour la santé mentale qu'un stigma visible (handicap moteur, malformation, couleur de peau ou tout autre trait physique...), car son impact devient lui aussi invisible. Non seulement la personne en souffre, mais elle en souffre en silence, bien souvent en toute ignorance de son entourage... là où un stigma visible peut au moins être constaté par autrui, et ainsi reconnu comme tel. Cela permet au moins à la personne souffrant de stigma de "l'externaliser d'elle-même", l'observer comme un concept extérieur à soi, ce qui est un chouilla moins corrosif pour la construction de l'image et de la confiance en soi.

    BREF: être gay / lesbienne / tгапs [...], c'est se confronter à plus de risques de violences verbales et physiques de la part de gens étroits d'esprit, c'est se sentir différent, moins/pas digne d'être connu par les gens qui nous entoure. D'où le besoin accru pour chercher et trouver des groupes constitués de gens "comme nous", auprès de qui on pourrait se conforter dans le sentiment d'appartenance etc.²


    Sauf que... tout le monde ne peut pas plaire à / s’entendre avec tout le monde, ce qui fait que l’intégration auprès de ses pairs n’est pas une garantie non plus ! Et c’est le lot des interactions humaines, là où le bas blesse, c’est que c’est exacerbé par l’anonymat d’internet. Sans voir le visage de celleux à qui on s’adresse, on en perd notre capacité d’empathie, de se mettre à la place de l’autre, de ce qui peut blesser. On pourrait même aller jusqu’à dire que le statut de “victime idéale” prédispose à devenir un jour “bourreau” soi-même, que ce soit par esprit de vengeance consciemment, ou par mimétisme inconscient. Rappelons également que notre communauté se montre plus fragile et vulnérable face aux troubles d’ordre psychologique (anxiété sociale, dépression voire risques suicidaires).

    CONCLUSION : oui, Mignonette a raison en pointant du ԁоіgt le manque de tolérance dans l'enceinte même de la communauté LGBT... on tend à reproduire ce que l'on (a) subit, et ce d'autant plus lorsque l'on ne perçoit jamais la peine que l'on inflige...

  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 18 février 2020 à 22:11
    En réponse au message de bjorkio :

    Nous représentons un sous-groupe de la société qui se trouve en marge, alors certes, les mentalités évoluent, et cette ostracisation est moins pire qu'elle n'a pu l'être par le passé, mais elle existe toujours. En 2020, être gay/lesbienne, et surtout tгапs, c'est signer malgré soi pour en chier plus qu'un(e) hétéro. Le stigma est réel, que l'on soit un cliché ambulant (auquel cas cela devient un stigma visible) ou non. Sachez même qu'un stigma invisible est plus délétère pour la santé mentale qu'un stigma visible (handicap moteur, malformation, couleur de peau ou tout autre trait physique...), car son impact devient lui aussi invisible. Non seulement la personne en souffre, mais elle en souffre en silence, bien souvent en toute ignorance de son entourage... là où un stigma visible peut au moins être constaté par autrui, et ainsi reconnu comme tel. Cela permet au moins à la personne souffrant de stigma de "l'externaliser d'elle-même", l'observer comme un concept extérieur à soi, ce qui est un chouilla moins corrosif pour la construction de l'image et de la confiance en soi.

    BREF: être gay / lesbienne / tгапs [...], c'est se confronter à plus de risques de violences verbales et physiques de la part de gens étroits d'esprit, c'est se sentir différent, moins/pas digne d'être connu par les gens qui nous entoure. D'où le besoin accru pour chercher et trouver des groupes constitués de gens "comme nous", auprès de qui on pourrait se conforter dans le sentiment d'appartenance etc.²


    Sauf que... tout le monde ne peut pas plaire à / s’entendre avec tout le monde, ce qui fait que l’intégration auprès de ses pairs n’est pas une garantie non plus ! Et c’est le lot des interactions humaines, là où le bas blesse, c’est que c’est exacerbé par l’anonymat d’internet. Sans voir le visage de celleux à qui on s’adresse, on en perd notre capacité d’empathie, de se mettre à la place de l’autre, de ce qui peut blesser. On pourrait même aller jusqu’à dire que le statut de “victime idéale” prédispose à devenir un jour “bourreau” soi-même, que ce soit par esprit de vengeance consciemment, ou par mimétisme inconscient. Rappelons également que notre communauté se montre plus fragile et vulnérable face aux troubles d’ordre psychologique (anxiété sociale, dépression voire risques suicidaires).

    CONCLUSION : oui, Mignonette a raison en pointant du ԁоіgt le manque de tolérance dans l'enceinte même de la communauté LGBT... on tend à reproduire ce que l'on (a) subit, et ce d'autant plus lorsque l'on ne perçoit jamais la peine que l'on inflige...


    Bien tout en cas je ne me sens pas concerné par ce long discours ! je n'inflige rien à personne étant quelqu'un de bienveillant et si l'on (veut)m'inflige(r) quelquechose de "mauvais" intentionnellement je m'en défends et/ou je l'ignore !
  • bjorkio Membre pionnier
    bjorkio
    • 18 février 2020 à 22:15

    Ce long exposé n'est rien de plus qu'une réflexion sociologique, je ne vise aucun individu en particulier, je ne fais que décrire un mécanisme d'interaction humaine, à titre informatif innocent.png

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