Le рuЬіs d'Anubis est un désordre noir (page 2) - Littérature & poésie

Je n'oserais te laisser entre les mains, cestes expertes mais définitives, d'Anubis...

Laisse le repos éternel là ou, un jour, il finira par sonner, en son temps...

Berce-toi de petites morts, celles pour qui le voyage est court mais revigorant,

La vie c'est aussi le rêve, la poésie, finalement, n'est-elle pas une petite mort?

L'autre monde attendra.

Ouais, aussi, vais-je manger mon repas de Midi, et ne pas me laisser mourir, Séb, et tu as dit une excellente raison d'écrire : écrire procure une petite mort à un univers trop rangé dans l'esprit et devenu pesant, fade, invivable.

Mais je pleure, je pleure, je pleure.

Merci, Séb.