Le garçon est velours, une main mâle glisse
Et le blasé vient fondre en incrédulité :
La grande tentation, le jeu où l'on dévisse
Le marquent d'un pinçon ; sa jeune vanité
D'insensible velu a fichu le camp ; délice,
Mon beau gosse, ton serpent désœuvré ; emporté
Par la braise et le feu, sourcils écartés, hisse
Sur la colonne ardente un tеstісulе heurté
Sous le poil vaporeux, animé par ton âme
(Qui loge où elle peut !), jouant au carillon
En montées et descentes avec l'autre, le parme
De рlаіsіг et de honte ; dans cette oscillation
Et les frissonnements longs, tes pieds précipitent
Leurs ruades au ciel, tes jоuіssапсеs visitent !
Climax007, le Six Juillet 2017
"Climax,
Sous la blancheur toute policée de l’albâtre se cache souvent des polissons...
Les yeux sont les témoins d'une douce clameur sous couvert d'interdit.." écrit PEGASE, oui, oh oui,
Bendeprincy, mais oui, mais le "Senseï" me fait toujours sourire !
(je suis plus que polygame en fапtаsmе : je suis рапsехuеl ; si la réalité voulait bien un peu se rapprocher de cela, je ne dirais pas non
.)