Dieu, étant inexistant, ne saurait être offensé d'une sоԁоmіе, qui n'est qu'une bonne manière entre mâles ; de plus, il paraît que le Dieu unique et trinitaire est mâle en ses trois personnes ; donc, d'une enfilade, trois d'un coup : comment se retenir, c'est plus fort que de jouer au bilboquet, c'est proprement vertigineux.
Dieu, de par sa constitution, est un appel au viol hоmоsехuеl.
Nous avons réuni en lui l'homme mûr, le jeune homme râblé, et puis le post-adolescent en la personne du Saint-Esprit.
Bref, Dieu, en son inexistence, incarne on ne peut mieux tous les fапtаsmеs de générations d'homos : l'homme mûr tant convoité par les trentenaires ; le post-adolescent tant désiré par les amateurs de jeunesse éternelle ; l'homme râblé, épanoui, mâle à souhait, objet de tous les désirs des amateurs de virilité accomplie.
Aussi Vive Dieu, rien que pour ces éminentes qualités éгоtіԛuеs !
, trois, oui, ça s'impose !