Je sais pas si vous connaissez, mais ce syndrôme fait qu'une femme battue ( ou un homme : je suis pas sectaire ), trouvera toujours des explications plausibles à ses marques de coups, d'une part, du type "je me suis prise une porte", et lorsqu'elle est démasquée, trouvera obligatoirement des excuses à la personne qui lui aura mis ces coups : physiques où phychologiques ( une emprise de ce type est toujours présente dans ces cas ), en disant que tout est de sa faute, qu'elle le méritait et elle retournera toujours vers son agresseur, tenant comme discours irréaliste : il ou elle va changer et phrase qui tue " il ou elle m'aime".
Ce syndrôme peut prendre différente forme, mais fait qu'en tout les cas, dans ces couples, l'une des personnes s'asservit à l'autre par amour, acceptant l'inacceptable, et malgré les conseils qu'elle pourra recevoir, croiera toujours en un avenir meilleur.
Pensez vous que l'on peut appeler ces personnes des victimes nées, car elles ont une si faible estime d'elles qu'elles sont prêtes à s'accrocher à une personne pernicieuse
juste au nom de l'amour, ce saint graal après lequel tout le monde coure apparemment.
Ok c'est de la spy à deux balles, mais j'assume