Les handicaps physiques repoussant? (page 3) - Entre garçons (forum gay)

Mouhahaha T trop fort toi

Ils peuvent etre ainsi percus , la difformité doit être couverte afin de ne choquer , c est de la couvrir qui fait qu elle puisse heurter une fois mise à пuе .

Oui mais pour certain ils ne peuvent pas la couvrir! dirais tu que c'est une blessure constante dans se cas?

Je pense qu il subsistera toujours une bléssure que l on pensait apaisée et qui s' ouvrira
à cause d un comportement , d une parole hostile à notre encontre

Oui je pense comme toi... mais apres, est ce que les gens percoivent ca? parce que pour le moment, je suis tombé sur de sacré connard qui m appelai bouboule, ma grosse, poid lourd, tu as de la graisse dans le cerveau... bref voila quoi!

- Comme nous ne vivons pas dans le meilleur des mondes possibles, où sensibilité et respect, tolérance et acceptation, négation des préjugés et bienvenue aux "différences" se conjuguent, j'ai bien apprécié l'intervention d'Over-Raver m'interpellant quant au service -involontaire- que m'ont rendus ceux & celles qui voulaient m'étouffer dans la honte d'être moi-même, avec une "dyskinésie accompagnée de troubles extra-pyramidaux".

Il a raison : ces gens-là, par leur mépris et leur haine et leur ignorance (souvent il y a chez l'olibrius méprisant un étonnement, qui signifie qu'en rien il n'estime pouvoir s'identifier à nous) doivent stimuler en nous un instinct de vie et une hardiesse que nous n'avions pas ; et grâce soit rendue à leur étroitesse d'esprit ! C'est un paradoxe prodigue en fruits bénéfiques pour un handicapé.

-- Oui, les handicaps repoussent, et prêtent le flanc à la décharge des bassesses les plus odieuses ; oui, il y a des "normes" esthétiques ԁоmіпапtеs qui nous écrasent si nous nous en écartons trop ; oui, il y a cette mésestime que l'on porte à soi-même et qui prend le relais du mépris extérieur ; oui, nous pouvons arrêter le cycle infernal en réagissant et en renvoyant, comme un boomerang, le mépris et l'exclusion.

-- Je ne sais pas si l'intolérance aux handicaps est plus prononcée (ou moins) chez les "homos" que chez les "hétéros" [je mets des guillemets, car ces deux catégories peinent à rendre compte de l'imbrication des mondes et des milieux, multiples, où nous évoluons, tous] : je n'en ai pas l'ехрéгіепсе.

Ou plutot un probleme de société intra communautaire ....
car c'est différent pour les gay et hetero, dans la logique ... la pratique c'est autre chose...

tout à fait d'accord avec toi....l'apparence dans le milieu gay est plus mise en avant!!!!