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Mon passant emporté, mon prince enténébré (page 2) - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Mon passant emporté, mon prince enténébré
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 18 février 2016 à 16:25



    Cette chanson d'amour de Daft Punk, écoutée en faisant mes exercices de musculation (avec une Ьапԁе élastique résistante !) et mes exercices d'étirements, auprès d'un charmant éducateur sportif, très compétent, très bienveillant (qui m'a fait réinvestir mоп согрs !) m'a bouleversé, chaque fois que, durant ces trois mois, à la gymnastique douce ou à la salle de sports, tandis que, sous la houlette de notre éducateur vieilles dames de soixante-dix ans, jeunes hommes, jeunes filles, vieux messieurs redécouvraient un corps vivant, ces notes et ces mots venaient à résonner.

    Je ne comprends que mal l'anglais (aucun problème pour le portugais, par contre, je comprends de A à Z un journal télévisé !), mais sa musique, le chanteur ont provoqué mes larmes.

    Comme par hasard, c'est une chanson du souvenir, de l'amour finissant et puis perdu, de la solitude.

    MAGNIFIQUE.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 18 février 2016 à 19:37
    En réponse au message de plop_plop :

    Quel bel hommage ....

    J'aimerais être aimé comme tu as aimé , ce qui me fait penser à une chanson que j'espère tu ne me voudras pas de poster



    Plop_plop, je suis sûr, pour avoir vu ta photo où, délicieusement en robe de chambre, au lever, tu fais très hérisson mâle de mauvais poil , un hérisson que, pour ma part, je prendrais volontiers dans mes bras - au risque de me piquer -, tu seras aimé, et tu as été aimé !

    Plop_plop : déjà le pseudonyme, soit une allusion à tes glissements pépères sur le sol (mais attention, derrière la tranquillité, la vigueur !!! ), ou une ironique allusion aux glissements des monstres abominables des arrière-mondes de H. P. Lovecraft, ou alors la goutte qui tombe des milliers de fois et qui exige de la patience !!!

    Es-tu une goutte éphémère et toujours faisant retour ???

    Tu sais : je me suis avisé de l'intensité de mon amour, et n'ai pu en tirer les conséquences - libératrices : le vivre ouvertement - qu'après la mort de Simon. C'est aussi cruel, pour Simon, d'avoir été aimé de cette manière - j'ai fait comme j'ai pu !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 18 février 2016 à 20:00
    En réponse au message de tonjoe31 :

    Bonsoir Serge,
    je suis content de te savoir remis et de pouvoir lire à nouveau tes poèmes si inspirés.

    Tu sais, Joe, j'estime que l'on est bien indulgent avec moi, mais bon, les avis des lecteurs sont souverains ; ce qui me touche, d'abord, c'est ton optimisme pour moi (je suis sorti de la mélancolie, certes, je vais mieux, mais je suis donc dans un processus long de deuil), ce qui me touche c'est ta gentillesse, qui d'ailleurs se devine à tes bras - sur ta photo - comme s'ils étaient ballants juste avant de prendre un garçon à bras le corps et de l'étreindre !!!
  • tonjoe31 Membre élite
    tonjoe31
    • 18 février 2016 à 21:04
  • yzzug Membre élite
    yzzug
    • 19 février 2016 à 06:25
    En réponse au message de climax69007 :

    Yzzug, Simon est mort d'une crise cardiaque à la suite de son anorexie, dois-je accuser SOS Médecins de m'avoir dit qu'il se portait très bien, puisqu’au téléphone ces connards le trouvaient très mаîtге de lui-même et"je devais rappeler s'il se mettait en danger ou s'il mettait en danger autrui ?" Ceci se passait quinze jours avant sa mort, alors que Simon, déjà hallucinant, alors que je revenais du travail, me comptait les ԁоіgts de la main, comme si j'étais un martien - éventuellement - mais aussi avec la persistance de l'amour qu'il portait à sa grand-mère maternelle, qui l'avait élevé tout jeune, femme décédée à quatre-vingt-dix ans, en 2006, et dont je sentais que c'était SA main qu'il recherchait, à travers la mienne, dans son délire.

    Dois-je dézinguer, les uns après les autres, les médecins de SOS médecins, ces connards criminels, ces connards superficiels que je n'ai pas su convaincre et que l'appétit de destruction de Simon aura su convaincre qu'il n'était pas consentant à une hospitalisation ???

    J'estime juste envers Simon de parler de lui.

    Nous avons déjà jouté sur de précédent topic , je ne recommancerai pas cette foi , c est peine perdu .......
    Nos deux cerveaux on subit la même épreuve, la perte d un plus que ami ..… presque un morceau de soit ....
    La ... Je me retire sur la pointe des pieds ... Simplement pour ne pas réitéré , une joute intectuel douloureuse.

    Amicalement

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