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Mon Père, ma soeur (page 6) - Le "Blabla" bar

Sujet de discussion : Mon Père, ma soeur
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 6 mars 2019 à 12:27
    Ainsi, à Saint-Michel, elles se mettent à genoux à l’offertoire aux quatre coins du tapis où sont installés les petits pour qu’ils les imitent.
    On est obligées de regarder l’autel, même si un enfant pleure, car l’assemblée regarde ce qu’on regarde

    Leur rôle essentiel est de toucher l’assemblée en adoptant une attitude recueillie.
    Par leur ferveur, elles doivent aider les fidèles à prier et entrer dans le Mystère», explique Stéphanie Alexandre, qui a monté un groupe de servantes à Montluel (Ain).

    Extraits de Famille Chrétienne
    Servantes de l’assemblée, un service à soigner 28 janvier 2019
    Digression:
    déjà à genoux pour recevoir le corps du Christ
    Hypnose recomposée
    j'ai l'esprit (l'esprit sain) blasphématoire, je sais
  • lessismore Membre suprême
    lessismore
    • 6 mars 2019 à 12:36
    En réponse au message de metal-o :

    Tu as raison l'Eglise c'est l'homme
    la femme elle a son rôle comme à la maison la maison de Dieu bien entendu

    LES SERVANTES DE L’EGLISE

    Elles ont un triple rôle :

    - Préparer le temple pour la liturgie : entretien général du lieu, du mobilier, des vêtements liturgiques. Elles proposent aux fidèles tous les objets de la piété personnelle et collective ( icônes, cierges, pain, vin, encens, dyptiques, huile des veilleuses…). Elles aident le clergé en tous temps et en tous lieux.
    Dixit l'Eglise catholique Orthodoxe de France

    Digression: les petits graçons on sait déjà à quoi ils servent

    Elles évitent peut-être aussi certaines frustrations et violes!
    Les femmes sont au top!
    Et pifou no souci, je monte pas sur mes grands cheveux! Mon brushing est impeccable!
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 6 mars 2019 à 12:57
    Dans « Religieuses abusées, l’autre scandale de l’Église », documentaire édifiant diffusé mardi 5 mars sur Arte, des nonnes agressées sехuеllеment par des prêtres témoignent pour la première fois, brisant l’omerta entretenue jusque-là par le Vatican.
    Une nouvelle étape pour la libération de la parole, dans une institution où tout est passé sous silence.

    Doris, jeune Allemande violée au sеіп de sa congrégation religieuse, témoigne à visage découvert, face caméra. Il lui aura fallu des mois, voire même des années, pour enfin consentir à parler.
    Comme toutes les autres religieuses, sœurs ou nonnes abusées par des prêtres, elle ne pouvait se résoudre à mettre des mots sur l’indicible.
    La libération de la parole est généralement compliquée pour les victimes d’agressions sехuеllеs, elle l’est d’autant plus quand ces actes immondes ont lieu au sеіп de l’Église.

    Publié le 05/03/2019 Vanity Fair
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 6 mars 2019 à 12:59
    Suite Vanity Fair
    […] Pour moi, c’était normal dans mon rôle de devoir supporter des choses que je n’ai pas voulues. L’obéissance à laquelle j’étais tenue impliquait que je fasse certaines choses qui m’étaient incompréhensibles ou douloureuses », se remémore-t-elle aujourd'hui.
    Le lendemain de l’agression, dès l’aube, Doris est descendue à la chapelle et a, comme à son habitube, enfilé sa robe : « Le symbole même de la chasteté, dit-elle, mais je me sentais fautive…

    Parce qu’elles ont honte d’avoir brisé leur vœu de chasteté, et peur de bafouer un second vœu, celui d’obéissance, en s’opposant à leur supérieur.

    Car quand on dénonce un prêtre, c’est finalement toute l’Église que l’on salit.
    Les nonnes sont ainsi éduquées dans une sоumіssіоп à Dieu, qui se traduit par une sujétion à ses messagers en soutanes.
    Les victimes se sentent donc plus coupables que blessées, voire impies, surtout lorsqu’elles tombent enceintes de leur agresseur.

    Digression: ce n'est pas parce qu'on porte une robe que l'homme perd sa virilité
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 6 mars 2019 à 13:01
    Le Petit instrument de Jésus
    Michèle-France, autre religieuse à témoigner dans le documentaire, a préféré occulter le calvaire qu’elle vivait. Durant ses jeunes années au couvent des Carmélites de Boulogne-Billancourt, elle a été régulièrement violée par son directeur spirituel, puis par le frère de celui-ci, également prêtre.
    Les deux hommes usaient de leur catéchisme et détournaient la parole sainte pour abuser de jeunes nonnes comme elle.
    Ainsi, le père Marie-Dominique se faisait passer pour « le petit instrument de Jésus » qui, par ses agissements, prétendait exprimer l’amour divin.

    Digression: JeSuсе mais j'аvаlе pas

    Le père Thomas, frère du père Marie-Dominique, a quant à lui profité de son association des Communautés de l’Arche pour se former un réseau sectaire où il régnait en seul mаîtге.
    Il y violait les jeunes femmes et encourageait ses disciples masculins à faire de même.

  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 6 mars 2019 à 13:03
    Digression: j'embrasse pas mais je ….. (de Taquiné)
    Selon les deux documentaristes, certaines agressions ont été signalées depuis plus de vingt ans mais ont toujours été passées sous silence par la justice du Saint Siège.
    Les agissements du père Thomas étaient connus au plus haut sommet.
    Le prêtre aurait même été convoqué à Rome dans les années 50 pour s’en justifier.
    Ce qui ne l’a pas empêché de récidiver jusqu’à sa mort, en 1993.

    Toujours Vanity Fair qui résume l'émission d'Arte

    Religieuses abusées, l’autre scandale de l’Église de Marie-Pierre Raimbault et Eric Quintin, avec la collaboration d’Elizabeth Drévillon – sur Arte le mardi 5 mars à 20h50 et disponible en replay durant deux mois

    suite et FIN …. de l'émission pas des viols

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