Ode au sехy Draconis : ma demande en mariage (page 10) - Littérature & poésie

En réponse au message de draconis :

Tu devrais te faire soigner mon pauvre Climax :)

Drag ... Tu sera sont meilleurs médecin..
Sa maladie s amour pour toi , sera simple a entretenir .

Juste de la tendresse.. La même attention que tu lui porte ici ..
Mais entre ces bras ..

Que tu as de la chance.. Tu lui as fais ta jolie et tendre déclaration d amour .. Juste au Ьоп mоmепt:

Au printemps.. La ou la sève monte dans toute les tiges ..

Draconis tu es un соԛuіп

En réponse au message de draconis :

Tu devrais te faire soigner mon pauvre Climax :)

Toute parole de toi est un baume sur mon cœur sensible :
rien ne sert de t'emmurer dans un dédaigneux jugement,
d'ailleurs tu as usé de tous les mots et rapprochements
censés me faire injure, Draconis !

Quand on est aussi assidu dans la haine, messire,
il n'y a pas de fumée sans un feu amoureux très іпtіmе ;
il n'y a pas de haine sans son contraire
l'étayant, la justifiant, révélant son mobile :
un amour contrarié par une échappée hors du monde,
un amour qui ne veut rien savoir des chairs stupéfiées,
un amour qui se congèle par crainte de la vie belle et idéale à sa manière !

En réponse au message de serge-herv007 :

En réponse au message de draconis :

Tu devrais te faire soigner mon pauvre Climax :)

Toute parole de toi est un baume sur mon cœur sensible :
rien ne sert de t'emmurer dans un dédaigneux jugement,
d'ailleurs tu as usé de tous les mots et rapprochements
censés me faire injure, Draconis !

Quand on est aussi assidu dans la haine, messire,
il n'y a pas de feu sans origine très іпtіmе,
il n'y a pas de haine sans son contraire
l'étayant, la justifiant, révélant son mobile :
un amour contrarié par une échappée hors du monde,
un amour qui ne veut rien savoir des chairs stupéfiées,
un amour qui se congèle par crainte de la vie belle et idéale à sa manière !

Je suis jaloux.. J ai jamais eux cela de personne MOI ... D aussi joli texte..
Bon je me suis jamais tapé de poète... Et je connais pas de dragon au Coeur сhаuԁ ...

Quelques bonheur de voir grandir votre amour ... Ici ... Sur tongay

Draconis, et si tu laissais parler l'homme du commun en toi !

Fie-toi à Wilhelm Reich : "Écoute, petit homme !"

Dans un monde humain à la fois massifié et atomisé,
dans un monde où se multiplient les apparences
de communications,

où la voix intérieure devient creuse et inaudible,

prête une oreille et écoute les mots
en puissance monter et naître en toi,

plutôt que de les éclabousser
de violence verbale,

ce subterfuge par lequel tu te fuis !

En réponse au message de serge-herv007 :

Draconis, et si tu laissais parler l'homme du commun en toi !

Climax,

N'aurais-tu pas encore remarquer que notre Draconis n'a absolument RIEN d'un homme "commun"...???

Brrr... Cette seule pensée qu'il fut commun m'insupporte.

Il faut peut-être chanter Serge !

En réponse au message de jiminy :

En réponse au message de serge-herv007 :

Draconis, et si tu laissais parler l'homme du commun en toi !

Climax,

N'aurais-tu pas encore remarquer que notre Draconis n'a absolument RIEN d'un homme "commun"...???

Brrr... Cette seule pensée qu'il fut commun m'insupporte.

Bon, v'là aut'chose, Jiminy, je perçois bien que le dragon vole dans des mondes faits d'images, et d'un temps et d'un espace particuliers ; je me souviens d'un jour où, en substance, et c'était son style brut, "il s'en tapait de la France" ; je me souviens, aussi, de ses moments d'humour, ou folâtres.

Il importe de le ramener à la commune condition humaine : qu'il admette ses réactions physiologiques, non dans un narcissisme autosuffisant mais parce qu'il est un homme sехué ayant besoin des autres !

Mais oui, Jiminy, Draconis doit réintégrer une condition humaine commune !

Il est des nôtres, contrairement à la fable qu'il veut répandre !

Le sехe en vibrant au matin - la loi du rêve -
Érige le dragon vers le haut ciel serein :
Dans ses reins il fourmille les voluptés sans trêve,
Les rumeurs de la sève, le bonheur aérien

Du garçon élancé en route vers la fête
De son corps en spirale captant à toute main
Les vibrations de la somptueuse défaite
Et l'amour victorieux de reluire en son plein :

Car, Messire, érectile est le glапԁ, le téton
Ou le désir qui ose la suprême aventure
De hasarder la force pour rencontrer un rien,

Quelqu'un, un être humain, une suggestion,
Un аmапt fait de caresses brisant votre clôture
- Serait-ce une illusion entrevue au matin !

Pour Draconis.
Avec amitié, et de l'affection !

Serge.

En réponse au message de jiminy :

En réponse au message de serge-herv007 :

Draconis, et si tu laissais parler l'homme du commun en toi !

Climax,

N'aurais-tu pas encore remarquer que notre Draconis n'a absolument RIEN d'un homme "commun"...???

Brrr... Cette seule pensée qu'il fut commun m'insupporte.

Jiminy,

Tu me donnes à penser.

Posons d'abord que Draconis n'est pas un monstre : il pose au monstre, il joue, lui-même un jour a déclaré qu'à ses propos il ne fallait pas s'arrêter car il pouvait dire tout et son contraire sans y voir de contradiction interne.

(C'est bien pourquoi, d'ailleurs, ses excommunications rageuses, ses propos cinglants, ses outrancières détestations me persuadent que Draconis soutient d'abord le contraire de ce qu'il prétend !!!)

Je me souviens avoir eu, ici, des accrochages fort rudes avec des membres mettant hors de l'humanité les criminels génocidaires, mais c'est la seule manière de comprendre notre histoire humaine -les nazis sont les fruits de circonstances politiques et non des émanations du Diable).

De même, Draconis, qui veut se donner des airs diaboliques, avec son irrespect de la civilité - quelque peu tempéré du fait de sa réintégration sous condition sur Ton Gay -, avec son interventionnisme tous azimuts pour nous faire croire à une omniprésence satanique, avec ses mots tranchant de tout pour nous persuader de son omniscience (attribut divin ou infernal) est le produit de son époque.

Draconis semble s'être arrêté dans une éternelle adolescence craignant le désir manifeste, le physiologique, pour privilégier d'autres mondes, où les morts et les coups sont fictifs !

Et sous l'écaille tendue à tout rompre pour repousser, je distingue la peau du beau brun, sa chair de poule délicate, les replis іпtіmеs de ses membres, la tendresse de sa peau, ses petits poils sехy entortillés, sa mauvaise humeur délicieuse, bref l'ado monté en graine !

Serge !