Texte de Joaquim Frederico de Brito.Por Morrer Uma Andorinha/Du fait que meurt une hirondelle
Se deixaste de ser minha/Si tu as cessé d'être à moi
Não deixei de ser quem era/Je n'ai pas cessé d'être celui que j'étais
Por morrer uma andorinha/Du fait que meurt une hirondelle
Não acaba a primavera/Ne s'achève pas le printemps.
Como vês não estou mudado/Comme tu le vois, je ne suis pas changé
E nem sequer descontente/Et je ne suis même pas insatisfait
Conservo o mesmo presente/Je poursuis le même temps présent
E guardo o mesmo passado/Et je conserve le même passé.
Eu já estava habituado/J'étais déjà accoutumé
A que não fosses sincera/A ce que tu ne sois pas honnête en amour
Por isso eu não fico à espera/C'est pourquoi, je n'en suis pas à espérer quelque chose
De uma emoção que eu não tinha/D'un sentiment que je ne possédais pas
Se deixaste de ser minha/Si tu as cessé d'être à moi
Não deixei de ser quem era/ Je n'ai pas cessé d'être celui que j'étais.
Vivo a vida como dantes/Je mène ma vie comme auparavant
Não tenho menos nem mais/Je ne possède pas moins ou davantage
E os dias passam iguais/Et les jours passent égaux
Aos dias que vão distantes/Aux jours qui s'en vont au loin.
Horas, minutos, instantes/Les heures, les minutes, les moments
Seguem a ordem austera/Suivent un ordre sévère
Ninguem se agarre à quimera/Que personne ne s'accroche à la Chimère
Do que o destino encaminha/De ce que notre étoile nous destine
Pois por morrer uma andorinha/Car, du fait que meurt une hirondelle,
Não acaba a primavera/Ne s'achève pas le printemps.
Traduit par mes soins,
pour ne plus voir ce barbarisme,
digne d'une lingua franca,
"No comprendo" !!! ![](/img/smileys/icon_biggrin.png)
![](/img/smileys/icon_biggrin.png)
![](/img/smileys/icon_biggrin.png)