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Pour theo (page 2) - Musique & cinéma

Sujet de discussion : Pour theo
  • unbekanntertheo Membre pionnier
    unbekanntertheo
    • 24 juin 2020 à 22:48
    En réponse au message de pifou :

    c'est un рlаіsіг pour moi de le faire

    j’écoute stevie ray vaughn en ce moment. la renaissance du blues vient de lui et johnny winter un blues texan

    le blues n'est pas noir, il est aussi blanc dans les années 30

    la misère et les persécutions des écossais et irlandais exiles par l’Angleterre


    je ne sais pas si tu connais la signification des notes

    un chant de bagnards et d'еsсlаvеs

    la première est celle du mаîtге, la deuxième celle du contremаîtге et la troisièmes celle de des еsсlаvеs, elle est diésée

    12 mesures pour le travail, les paroles viennent des chants français en alexandrin

    le mot blues vient d'une expression anglaise

    to have a blue devil, c'est quand tu es ivre et que ca te rend mélancolique


    Je connaissais les douze mesures et savais que les paroles se sont inspirées des alexandrins français, mais je ne savais pas qu'elles étaient hiérarchisées de cette façon, c'est une cohésion d'évènements, de provenances et de souffrances qui ont aboutis a cette complainte universelle qu'est le blues.

    Le blues ne pouvait naitre qu'a cet endroit précis, les horreurs de l'histoire ont accouchées d'un joyau.


    L'alcool a plutôt tendence a me rendre joyeux, je ne pourrai jamais être chanteur de blues.

  • tournade Membre élite
    tournade
    • 24 juin 2020 à 22:59

    Moi aussi l’alcool me rend plutôt joyeuxgrinning.pngcé peut être l'influence d'un grand frère


    HÉ!! merci à vous deux pour vos postes +1.png


    Cé vraiment vraiment cool et instructif


    Un big bisou à vous deux kiss.png

  • yannboy95 Membre suprême
    yannboy95
    • 24 juin 2020 à 23:02
    En réponse au message de tournade :

    Moi aussi l’alcool me rend plutôt joyeuxgrinning.pngcé peut être l'influence d'un grand frère


    HÉ!! merci à vous deux pour vos postes +1.png


    Cé vraiment vraiment cool et instructif


    Un big bisou à vous deux kiss.png


    et a moi aussi ! mdr


    desolé c'est plus fort que moi , je sors

  • unbekanntertheo Membre pionnier
    unbekanntertheo
    • 24 juin 2020 à 23:03
    En réponse au message de pifou :

    non le mojo est une amulette vaudou.

    je ne retrouve plus le nom de la racine magique, la fatigue, en fait c'est un sac qui contient une racine pour apporter le pouvoir sехuеl et la chance. quand le nom me reviendra je te le dirai, elle est aussi appelée johnny coocheroo rapport a la légende de cet еsсlаvе


    La Mandragore est une racine hallucinogène et toxique, je comprends qu'elle ait eu une place prépondérante dans la culture vaudou.

    Par extension, le Mojo ne signifit Il pas avoir cette force de caractère et ce charisme qui a fait que certains se sont révoltés contre l'oppression des blancs ?


  • tournade Membre élite
    tournade
    • 24 juin 2020 à 23:06
    En réponse au message de yannboy95 :

    et a moi aussi ! mdr


    desolé c'est plus fort que moi , je sors


    Oui à toi aussi Yann mdr kiss.png

  • unbekanntertheo Membre pionnier
    unbekanntertheo
    • 24 juin 2020 à 23:39

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    Les Amérindiens, pères du blues

    (Source LaLibre. be)


    Musique Blues, rock, jazz : comment les Amérindiens ont influencé la musique américaine.

    Leurs rythmes, leurs chants et leur son ont contribué à façonner la musique américaine du XXe siècle, du blues au rock : cet apport des Amérindiens, largement ocсulté.


    C’est un véritable travail d’archéologue auquel il a fallu se livrer pour identifier, dans la musique moderne, les traces des "native Americans", les Indiens d’Amérique, le plus souvent cachées, volontairement ou non. "Car au début du XXe siècle, personne ne voulait être un Amérindien", souligne Stevie Salas, guitariste renommé, d’origine apache, et producteur exécutif du documentaire "Rumble : The Indians Who Rocked the World".



    Citoyenneté en 1924


    Déplacés, parqués, voire massacrés durant les XVIIIe et XIXe siècles, les Amérindiens n’ont en effet obtenu la pleine citoyenneté américaine qu’en 1924, plus de cinquante ans après les Noirs (1868). Considérés comme non-Blancs, ils ont continué à subir par la suite la ségrégation raciale jusque dans les années 60.


    "Notre culture a également été prise pour cible", explique dans le document le musicien et activiste John Trudell, originaire de la tribu Santee, rappelant le massacre de Wounded Knee, en 1890. Craignant la montée d’un mouvement religieux baptisée "Ghost Dance", célébré par des danses et de la musique, l’armée américaine s’en est en effet prise, à l’époque, aux Indiens Lakota, tuant environ 300 hommes, femmes et enfants dans le Dakota du Sud. "C’était un génocide, et ils voulaient effacer toute perception culturelle que nous avions de la réalité", martèle John Trudell.

  • unbekanntertheo Membre pionnier
    unbekanntertheo
    • 24 juin 2020 à 23:41

    Charley Patton, la référence


    Pourtant, dès l’invention du blues - genre fondateur de la musique américaine moderne -, les Amérindiens étaient représentés, notamment par l’intermédiaire de Charley Patton (1891-1934), d’origine choctaw, une tribu du sud-est des États-Unis.


    C’est l’une des découvertes de l’auteur canadien d’origine amérindienne Brian Wright-McLeod, qui a tout remis à plat dans son "Encyclopedia of Native Music" (2005), base du documentaire qui est projeté à New York jusqu’au 8 août et qui le sera également dans plusieurs villes des États-Unis jusqu’en septembre.


    De l’avis du célèbre rockeur Jack White, Charley Patton est même le père spirituel du "Delta Blues", courant fondateur issu du delta du Mississippi. "Il était une référence pour tous les autres musiciens de blues" de l’époque, a-t-il expliqué en 2015 à la radio publique NPR. Le documentaire fait ainsi la démonstration que le blues ne tient pas uniquement ses origines des Afro-Américains, mais aussi des Amérindiens.


    Certains reconnaissent même dans le rythme et le chant de Patton plusieurs caractéristiques de la musique indienne.


    Outre Charley Patton, d’autres guitaristes de légende d’origine indienne ont été considérés comme des influences majeures de l’histoire du rock, à commencer par Link Wray, dont le morceau emblématique "Rumble" a donné son nom au film. "Il n’y aurait peut-être pas eu les Who, le Jeff Beck Group, ou Led Zeppelin, sans Link Wray", affirme le batteur du groupe rock Foo Fighters Taylor Hawkins, dans le film.


    La caution des célébrités


    Tout au long du documentaire, un impressionnant aréopage de stars du rock défile pour rendre hommage à ces pionniers, aux origines souvent tues. "Quand nous avons réalisé ‘Rum ble’ , nous savions que nous devions amener les gens à penser différemment de ce qu’on leur avait appris toute leur vie", ex plique Stevie Salas, qui est à l’origine du projet . "Et pour cela, nous avions besoin que des gens célèbres et crédibles le disent et en fassent la preuve."


    A partir des années 60, des artistes ont connu le succès tout en revendiquant leur généalogie indienne, comme la chanteuse folk canadienne Buffy Sainte-Marie ou le guitariste Jesse Ed Davis, prisé des Beatles ou des Rolling Stones.


    L’effet "Danse avec les loups"


    Mais pour la reconnaissance, il a fallu attendre beaucoup plus longtemps. "Les gens ne savaient pas si c’était lié à la mode et à l’esprit des années 60, ou s’ils s’habillaient comme ça parce qu’ils étaient Amérindiens", explique Stevie Salas.


    "Je sais que ça semble dingue, dit-il, mais ce n’est que durant les années 90 et avec le film ‘Danse avec les loups ’ que les États-Unis ont accepté cet amour de la culture indienne."

  • unbekanntertheo Membre pionnier
    unbekanntertheo
    • 24 juin 2020 à 23:46


  • unbekanntertheo Membre pionnier
    unbekanntertheo
    • 24 juin 2020 à 23:49

    Charley Patton

    (wikipedia)


    Charlie Patton, mieux connu sous Charley Patton (né à Bolton dans le Mississippi en 1891 et mort à Indianola également dans le Mississippi le 28 avril 1934) était un guitariste et chanteur de Delta blues américain. Patton est aujourd’hui considéré comme le « père du delta blues » et est une des figures antérieures les mieux connues de la musique populaire américaine

  • unbekanntertheo Membre pionnier
    unbekanntertheo
    • 24 juin 2020 à 23:54
    En réponse au message de tournade :

    Moi aussi l’alcool me rend plutôt joyeuxgrinning.pngcé peut être l'influence d'un grand frère


    HÉ!! merci à vous deux pour vos postes +1.png


    Cé vraiment vraiment cool et instructif


    Un big bisou à vous deux kiss.png


    Merci pti frère

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