En réponse au message de sim.s-heart :
Non, il n'est pas question de moi, c'est vous qui ne comprenez pas ou bien vous le faites exprès...
Comme d'habitude, encore un procès d'intention…
En réponse au message de sim.s-heart :
Un médecin n'a pas à juger de la vie ou de la mort d'un patient.
Ils le font tous les jours en s'abstenant de soigner, en continuant ou en arrêtant des soins.
En réponse au message de sim.s-heart :
Si tu avais ton fils dan cet état et tu gardes espoir, aimerais tu qu'un médecin prenne cette décision contre ta volonté ?
(même les plus grands médecins peuvent se tromper !!!)
Il ne s'agit pas d'espoir mais de percevoir les réalités au plus juste possible.
Les médecins ont leur mot à dire, la famille aussi.
Les infirmières même sont souvent consultées et font pencher la balance dans un sens ou dans l'autre.
Si un de mes fils était dans la situation que j'ai rencontré avec quelques unes des personnes dont je me suis occupé en tant que bénévole, il m’apparaît totalement évident que ma demande serait d'arrêter les frais.
Si les médecins s'y refusaient, il m’apparaît tout aussi évident que j'apporterai à mon fils la solution refusée.
On a déjà eu ce genre de discussion avec ma femme et, à l'occasion de celles-ci, je me suis engagé à veiller à ce que le monde médical ne s'acharne ni sur mes enfants, ni sur elle.