En réponse au message de jld28 :
Bonsoir, j'ai crée ce sujet pour que nous puisions partager nos plus beaux souvenirs :D
Je me lance.
Il faut tout d'abord savoir que je n'ai pas toujours été parisien. En effet, entre mes 10 ans et mes 26 ans j'ai vécu en Provence. Alternant entre Toulon, Aix-en-Provence et Marseille. Le souvenir que j'ai décidé de vous partager aujourd'hui se passe quand je n'avais encore que 20 ans. J'étais alors étudiant en Droit à la faсulté d'Aix-en-Provence et cela faisait à peine 2 ans que j'avais quitter le domicile familial, j'apprenais donc encore à m'affirmer et j'étais émerveillé par toutes les opportunités que la liberté pouvait m'offrir.
Je me souviens en particulier de ces journées de printemps ou sur les coups de 15-16h, à la suite de mes cours de Droits dans des amphithéâtres traditionnels en bois, j'enfourchais mon vélo afin de rejoindre mon meilleur ami au centre ville historique d'Aix-en-Provence. Nous nous changions alors promptement, montions sur nos vélos et empruntions les routes nous permettant de quitter la ville au profit des campagnes provençales environantes. Pour cela nous passions par des zones résidentielles où l'air était saturé par les effluves des orangers et jasmins en fleurs. C'était fantastique. Une véritable explosion olfactif qui se mariait harmonieuses bien avec la сhаlеuг printannière environnante ainsi que la légère brise du vent. J'avais littéralement l'impression d'être sur un nuage de coton. Tout était parfait.
Une fois sortie d'Aix-en-Provence, on s'amusait à faire le tour de la Sainte-victoire, une boucle de 60-70 km environ autour d'un massif montagneux très caractéristique du pays d'Aix (voir photo).
Nous longions alors dans un premier temps les vignobles présent sur les contreforts sud de la Sainte-victoire avant d'entrer dans un second temps dans l'arrière pays Aixois ou s'opérait un changement radical de paysage. Les vignobles laissant place au forêt de chênes centenaires et aux hautes herbes parsemées de ci et là de vielles fermes provencales. La nature étaient en fêtes et il n'était rare d'observer des animaux sauvages (Biche, renard, Sanglier).De plus, quand nous arrivions en ces lieux, le soleil était souvent en train de se coucher reflétant sur la Sainte Victoire, la flore et enfin le ciel les derniers reflets de ces rayons. La pénombre progréssait et doucement on pouvait apercevoir les étoiles dans le ciel.
Sur le chemin de retour. A l'arrière de la Sainte-Victoire dans la vallée de Vauvenargue nous commençions souvent avoir froid. En effet, la tombé de la nuit et surtout la présence d'un cours d'eau tout le long de notre parcours rafraichissait particulièrement l'atmosphère. D'autant plus qu'à ce stade, nous étions souvent épuisés et découlinant de transpiration. Je me souviens précisément de cette sensation si caractéristique, cette espèce de frisson causée par l'évaporation de ma sueur et du frottement de l'air. C'était bien souvent la partie difficile de notre balade. Cela le fut particulièrement la première fois que nous l'entreprime mon ami et moi. Ont étaient pas très bien entrainés et avions à la fin l'impression que nos jambes et nos cuisses "brûlaient" en permanance. C'était difficile, mais le regard plein d'espoir et de complicité que nous nous lancions alors étaient très motivants et nous permettaient de progrésser en dépit de l'adversité. En outre, la densification progréssive du réseau d'éclairage public nous signalait qu'on se rapprochait de notre destination finale et nous permettait d'entrevoir la lumière ou bout du tunnel.
Une fois arrivée, à Aix-en-Provence, on se douchait et passions une bonne soirée au сhаuԁ chez mon collègue. Tous les sens étaient alors démultipliés. Je prenais alors tellement de рlаіsіг à manger et boire. Puis cette sensation d'être propre c'était incroyable. Quelque fois - durant l'été - avant même de rentrer directement mon collègue, on se posait à la terrasse d'un café pour déguster une bière bien méritée !
Voilà voilà, j'ai essayé de faire de mon mieux afin de vous décrire la joie que j'ai ressenti durant ces événements. Il est toujours très difficile de décrire des sentiments, des sensations qui sont bien souvent ineffables. J'espère néanmoins avoir réussi à vous avoir partager un peu de mon ехрéгіепсе. Je serai heureux de répondre à vos questions et de lire vos propres témoignages.
Un de mes plus beau souvenir, c'est quand un homme m'a fait ma première fеllаtіоп, puisque ma copine de l'époque ne voulait pas, j'en avais 18 ans, lui la quarantaine, on a eu une belle histoire d'amour,qui a duré un peu plus d'un an, pour lui et moi, c'était la première merveilleuse ехрéгіепсе Homo, adolescent j'ai toujours été attiré par les deux sехes,