Bon, plus sur le fond du sujet, il y a une réflexion qui dépasse le simple pipi-caca.
C'est pour cela que j'évoquais l'aspect psychologique du truc.
Je m'explique:
- Position de la femme dans la société
- Conception de la sехualité
- Notion du propre et du sale, du pur et de l'impur
Position de la femme dans la société:
Une femme se distingue par ses menstruations et ces enfants qu'elle expulse de temps en temps.
Hors, comment, sans zone d'ombre aucune, considèrer une femme comme il se doit si la conception que l'on a des menstrues et autres sécrétions féminines sont "entachées"
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Conception de la sехualité:
Comment avoir une sехualité épanouie si le sрегmе et la cyprine sont des choses porteuse de répulsion
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Comment "gérer" la sоԁоmіе avec tranquillité d'esprit si, dans un coin de notre cerveau, il y a quelque chose de "dégueux" dans la pratique
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Notion du propre et du sale, du pur et de l'impur:
Comment se juger favorablement alors que l'on est dans la négation, quelque part, des processus qui permettent la vie et la maintiennent
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Ce questionnement va bien au delà de boire sa ріssе ou pas; j'en conviens.
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Mais un lien fort existe…
On en parle ou on continue de trouver cool de se rouler des galoches en considèrant que c'est de l'amour alors que la Ьоuсhе est un endroit gore de l'organisme ?
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Pour info, l'endroit le plus sale (techniquement et d'un point de vue microbien) de notre corps, c'est le plis postérieur… du genou.
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Étonnant, non
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