En réponse au message de raxel :
En réponse au message de fred600 :
En réponse au message de parfum-de-femme :
Comment "gérer" la sоԁоmіе avec tranquillité d'esprit si, dans un coin de notre cerveau, il y a quelque chose de "dégueux" dans la pratique
Je n'aurais jamais imaginé qu'on puisse mêler la sоԁоmіе avec un sujet qui parle de boire son uгіпе
J'vois pas l'rapport moi non plus...
Pourtant et tout spécialement coté hоmоsехualité masculine, la salle de jeu et les chiottes se confondent, non
Si l'uгіпе est considérée en tant que substance sale, comment considérer l'étron
Quelque part, on est dans les deux cas de figure avec la problématique de substances que l'on souhaite éviter, à la base.
Un tube digestif, même avec force lavements, reste un tube digestif.
Un гесtum, propre sur lui, reste un vecteur d'hépatite B pour la simple raison que le virus est évacué par les selles.
C'est cela, la réalité du truc, tout comme l'air qu'on respire est déjà passé dans d'autres poumons que les nôtres et l'eau qu'on boit (qui n'a pas d'âge) a déjà été ріssé par d'autres gens ou animaux depuis que la vie existe sur terre.
Mais on peut être dans la tentation de ne pas vouloir considérer ce qui est pourtant une réalité technique.
Bref, je voulais simplement mettre en évidence que se sentir "en paix" avec ses déjections ou au contraire se trouver dans une forme de dégout pouvait avoir une incidence dans la façon dont on aborde sa sехualité.
Il y a une nuance notable entre accepter cette régle du jeu ou se voiler la face quand ce n'est pas carrément rentrer dans le cadre d'une sехualité honteuse, de par la promiscuité sсаtоlogique qu'elle implique.
Accepter d'être un peu dans la merde à partir du moment où on passe du coté obscur de la force est à mon sens une force.
Çà n'empêche pas bien sûr de nettoyer la salle de jeux avant de s'y aventurer…