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Recherche d'un psy gay ou gay friendly sur Paris - Entre garçons (forum gay)

Sujet de discussion : Recherche d'un psy gay ou gay friendly sur Paris
  • gaydom Membre occasionnel
    gaydom
    • 12 juin 2013 à 11:56
    Bonjour,

    Je souhaiterai commencer un travail avec un psy mais j'aurai souhaité le faire avec un psy gay ou au moins gay friendly afin de me sentir plus à l'aise.
    Si certains d'entre vous ont des coordonnées, je suis preneur.
    Merci d'avance
  • lola34000 Membre pionnier
    lola34000
    • 12 juin 2013 à 12:09
    Pourquoi gay un spy sa passe ou sa passe pas j'en essayer pas loin de 10 avants d'en trouver un bon enfin qui ai a mon écoute et pas qui crois tout savoir et m'orientée
  • ben_dewitt Membre pionnier
    ben_dewitt
    • 12 juin 2013 à 12:15
    Je crois qu'il y a une adresse qui récapitule un peu tout ce qu'il faut savoir sur le sujet.

    http://www.psygay.com/

    Envoie-leur un mail, au pire. Ils répondent rapidement et gentiment !

    C'est clairement un bon site, qui a été retapé il y a peu, d'ailleurs.

    Bref, je pense que tu trouveras ton bonheur, là-dessus. Y a moyen de regarder selon ton département, etc. A toi de jouer !
  • nehorai Membre élite
    nehorai
    • 12 juin 2013 à 12:19
    Bonjour,
    Gay ou pas, le contact peut ou ne pas passer avec un psy, je ne te conseille pas de choisir ce critère.
    Dernièrement j'ai vu 4 psy, sans succès , pourtant parmi les 4 il y avait un bel homme mais absolument pas a l'écoute .
    Les 3 autres étaient des femmes , une très olé-olé , l'autre très vieille France et la dernière trop rigide .....
    C'est difficile de trouver un psy avec lequel on puisse se sentir en confiance , mais ne te décourage pas et surtout ne te force pas si tu sens que le feeling ne passe pas .
  • lucas_s Membre élite
    lucas_s
    • 12 juin 2013 à 18:23
    Ce n'est clairement pas un critère à prendre en compte sauf si tu veux entrer dans un jeu de séduction. Un psy est par définition à l'écoute et tu ne te feras pas juger qu'il (elle) soit hétéro ou gay !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 12 juin 2013 à 19:13
    Ce que tu cherches avec ton psychanalyste "gay" ou "gay-friendly", c'est n'importe quoi : comme si un ou une psychanalyste, digne de ce nom, pouvait mettre sur sa porte, "Je suis gay ou gay-friendly".



    Ce que tu demandes est contraire à la psychanalyse.




    C'est d'autant plus n'importe quoi, mais là je te laisse réfléchir, que s'il existait un tel individu affichant ce qu'il est réellement, ce serait un danger public parce qu'il refuserait que joue l'imaginaire de son patient (ce qui serait une vacherie innommable).


    Ce ne serait pas une relation thérapeutique que tu aurais avec elle ou lui, mais une relation de collusion, de confusion, de compagnonnage.


    La psychanalyse n'est pas destinée à rassurer dans le réel sur une identité hоmоsехuеllе que tu verrais en miroir chez ton ou ta psychanalyste. Cela, c'est mortifère !!!


    Par ailleurs, que je sache, la psychanalyse ne se fixe pas pour but de normaliser les patients : ça, c'est une vue fantasmatique de ta part ; la psychanalyse est destinée, en se découvrant avec l'aide d'un ou d'une autre, à te faire aller mieux. C'est tout. Et c'est beaucoup !!! Et rester dans le petit cercle hоmоsехuеl serait de la normalisation : c'est contraire à la psychanalyse.



    Et l'orientation sехuеllе de ta ou de ton thérapeute ne fait rien à l'affaire : il vaudrait mieux avoir un(e) psychanalyste dont tu saurais qu'il a fait trois ou quatre enfants avec son épouse/son époux et qui permettrait ainsi, en t'appuyant sur cette base matérielle objective, de mieux pouvoir fапtаsmег, dans ta relation thérapeutique, tout ce que tu as d'infantile en souffrance que d'avoir un(e) "gay-friendly" qui serait incapable, on peut l'imaginer aussi, d'établir une relation soignante avec toi au bon niveau.



    Bref : la psychanalyse, ce n'est pas une affaire d'orientation sехuеllе réelle du thérapeute, c'est une affaire de fапtаsmе à son propos, et fапtаsmег sur les relations sехuеllеs de son ou de sa thérapeute fait partie du traitement, et si tu coupais à ça en te rabattant sur le réel, eh bien, ce serait du n'importe quoi et ce ne serait pas de la psychanalyse, ce serait rester dans ton petit monde hоmоsехuеl pour ne pas changer et alimenter ton immobilisme mortifère.



    La psychanalyse est trop précieuse pour qu'on la laisse à des CHARLATANS qui mettent sur leurs portes "gay" ou "gay-friendly" !!!
    A fuir comme la peste et le choléra ce genre d'individus qui soignent selon une prétendue appartenance communautaire : et le reste de ce que tu es ou pourrais devenir, il passe où dans le traitement ???


    Et comme dit si bien Luca s, un(e) thérapeute psychanalyste n'est pas un juge, quel que soit dans la réalité son choix d'objet sехuеl !!!
  • didmi83 Membre pionnier
    didmi83
    • 12 juin 2013 à 19:28
    La psychiatrie est malade ; elle a besoin de remèdes : des psys , par exemple !
    Attention à l'effet placébo ...
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 12 juin 2013 à 19:43
    La psychiatrie est malade ; elle a besoin de remèdes : des psys , par exemple !
    Attention à l'effet placébo ...

    L'éternel chant du cygne à propos de la psychanalyse qui serait bien malade.

    Par ailleurs la psychanalyse n'est pas une branche de la psychiatrie ; elle a assez lutté pour ne pas en être une !!!

    La psychanalyse a actuellement ses juges inquisiteurs, Onfray et compagnie, qui ne se sont jamais mis sur un divan ou sur un fauteuil, et qui n'ont jamais été malades au point qu'ils ne savent pas ce qu'est la souffrance psychique.

    Il n'y a pas d'effet placebo dans une relation humaine, thérapeutique, il y a un long travail à faire pour se sortir de la souffrance et ce n'est pas un effet placebo trompeur qui pourrait y pourvoir.

    De plus, je ferai remarquer que tout(e) psychanalyste, qui bien sûr a sa pathologie (tout le monde en ayant une, seuls les fous achevés ne le reconnaissant pas), est comme il se doit sous supervision, c'est-à-dire qu'il ou elle accepte de se mettre sur un divan pour éprouver ses propres difficultés rencontrées au cours de sa pratique psychanalytique, afin que celles-ci n'interfèrent pas dangereusement, et à son insu, avec les traitements qu'il ou elle mène.

    Enfin, un(e) psychanalyste n'est pas seul(e) mais appartient à une société de psychanalyse (la Société Psychanalytique de Paris ou la Société Française de Psychanalyse) où il ou elle met au travail ses difficultés, à égalité avec ses pair(e)s : donc, le ou la psychanalyste ne "s'autorise pas de lui-même" (comme le disait Jacques Lacan dans sa période fumiste et obscurantiste).
  • didmi83 Membre pionnier
    didmi83
    • 12 juin 2013 à 23:04
    Excuse-moi , climax ,pour avoir fait l'amalgame entre ces différentes thérapies.
    Mais quand je vois certaines personnalités faire une psychanalyse pendant des années à raison de 3 séances par semaine(Ok , tu peux me taxer d'amalgame) et qu'à l'occasion elles sont remboursées par la Sécu avec en prime quelques médicaments ,
    ,on pourrait faire quelque chose pour combler ce fameux tгоu (de la Sécu!) Par d'autres moyens , bien sûr...
    Reste à définir le degré de la "maladie"...
    Les dépressifs sont de vrais malades , soit ,mais "les habitués des divans" relèvent plus d'une médecine de "confort" ! A toi et aux autres de convertir les sceptiques...Merci
  • lucas_s Membre élite
    lucas_s
    • 13 juin 2013 à 00:25
    Les séances de psychanalyse ne sont pas remboursées par la sécu ! C'est pourquoi cette discipline a longtemps été réservéé aux personnes aisées.

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