En réponse au message de sergeclimax69007 :
Ce que tu cherches avec ton psychanalyste "gay" ou "gay-friendly", c'est n'importe quoi : comme si un ou une psychanalyste, digne de ce nom, pouvait mettre sur sa porte, "Je suis gay ou gay-friendly".
Ce que tu demandes est contraire à la psychanalyse.
C'est d'autant plus n'importe quoi, mais là je te laisse réfléchir, que s'il existait un tel individu affichant ce qu'il est réellement, ce serait un danger public parce qu'il refuserait que joue l'imaginaire de son patient (ce qui serait une vacherie innommable).
Ce ne serait pas une relation thérapeutique que tu aurais avec elle ou lui, mais une relation de collusion, de confusion, de compagnonnage.
La psychanalyse n'est pas destinée à rassurer dans le réel sur une identité hоmоsехuеllе que tu verrais en miroir chez ton ou ta psychanalyste. Cela, c'est mortifère !!!
Par ailleurs, que je sache, la psychanalyse ne se fixe pas pour but de normaliser les patients : ça, c'est une vue fantasmatique de ta part ; la psychanalyse est destinée, en se découvrant avec l'aide d'un ou d'une autre, à te faire aller mieux. C'est tout. Et c'est beaucoup !!! Et rester dans le petit cercle hоmоsехuеl serait de la normalisation : c'est contraire à la psychanalyse.
Et l'orientation sехuеllе de ta ou de ton thérapeute ne fait rien à l'affaire : il vaudrait mieux avoir un(e) psychanalyste dont tu saurais qu'il a fait trois ou quatre enfants avec son épouse/son époux et qui permettrait ainsi, en t'appuyant sur cette base matérielle objective, de mieux pouvoir fапtаsmег, dans ta relation thérapeutique, tout ce que tu as d'infantile en souffrance que d'avoir un(e) "gay-friendly" qui serait incapable, on peut l'imaginer aussi, d'établir une relation soignante avec toi au bon niveau.
Bref : la psychanalyse, ce n'est pas une affaire d'orientation sехuеllе réelle du thérapeute, c'est une affaire de fапtаsmе à son propos, et fапtаsmег sur les relations sехuеllеs de son ou de sa thérapeute fait partie du traitement, et si tu coupais à ça en te rabattant sur le réel, eh bien, ce serait du n'importe quoi et ce ne serait pas de la psychanalyse, ce serait rester dans ton petit monde hоmоsехuеl pour ne pas changer et alimenter ton immobilisme mortifère.
La psychanalyse est trop précieuse pour qu'on la laisse à des CHARLATANS qui mettent sur leurs portes "gay" ou "gay-friendly" !!!
A fuir comme la peste et le choléra ce genre d'individus qui soignent selon une prétendue appartenance communautaire : et le reste de ce que tu es ou pourrais devenir, il passe où dans le traitement ???
Et comme dit si bien Luca s, un(e) thérapeute psychanalyste n'est pas un juge, quel que soit dans la réalité son choix d'objet sехuеl !!!
sinon , il y a des prêtres des rabins des muftis , des accueils anonymes , et puis avant tout l'amour sinçère sain de soi , les amis , la relaxation la méditation ,le sport ...psy ou spi, tel est la question , le tout est de se foutre la paix, vraiment ...de ne pas renier sa souffrance ,s e faire accompagner ..oh que oui , doucement avec le temps , tranquillement perséverance t bienveillance