En réponse au message de archaon :
L'art en terme de peinture ou de sculpture c'est comme la philosophie, ce n'est que de la Ьгапlеttе, des pédants se réunissent pour décréter que telle ou telle toile est une merveille, fût-elle blanche, des crétins congénitaux trouveront que l'auteur a souhaité par là exprimer l'infini, le vide "remplissant" la matière ou que sais-je... Finalement la critique d'art n'est composée que de ramollis du bulbe estimant à tort sortir du lot en voyant dans un tas de merde autre chose qu'un tas de merde :)
Et, il n'a pas fallu attendre bien longtemps, pour que se réalise ce que je prédisais plus haut :
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Les affirmations les plus outrées en guise de discours logique ;
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L'ignorance crasse érigée en système de références, et ne pas même envisager, serait-ce un brin, que le jugement esthétique demande une pondération, exige une formation de l'oeil (pour la peinture et la sculpture), de l'oreille (pour la musique), de l'entendement et de la sensibilité (pour la littérature), et réclame de la curiosité plutôt que des condamnations à l'emporte-pièce ;
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La volonté de déprécier ce que l'on sait être cher à un autre (ici, Victor Brauner) au travers d'un discours de vandale et de soudard ;
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L'abaissement du contradicteur au niveau des crétins congénitaux (car il se trouve que, oui, j'estime digne de réflexion la peinture) par un discours extravagant, car, enfin, nul n'a jamais commis de culte d'admiration à l'égard de Victor Brauner (qui ne l'aurait pas admis) ;
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La confusion de tout, car ce à quoi ledit Archaon fait allusion c'est à la fameuse toile "Carré blanc sur fond blanc" de Kasimir Malevitch, nous voici donc déjà passé de Victor Brauner au suprématisme russe ;
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La salissure de l'objet de la discussion par la sсаtоlogie et le mépris.
Et voilà pourquoi il n'y a pas de discussion, et il n'y en aura pas.