Connexion :
St valentin ...! (page 3) - Le "Blabla" bar
Forum Le "Blabla" bar Pour tout ce qui n'entre pas dans les autres catégories.
Sujet de discussion : St valentin ...!
-
climax007 Membre élite
- 8 février 2018 à 20:44
-
textoo Légende urbaine
- 8 février 2018 à 20:50
En réponse au message de climax007 :
Mon cœur "généreux" est d'abord jouisseur, sensible à mes sentiments, et je ne vois pas comment intéresser un homme autre, mais sensible et jouisseur, sinon par la tendresse la plus sехuеllе.
Pourquoi serai-je perdu par mon cœur, Patrice ? Mon cœur est ce qui peut me sauver : mes tripes sехuеllеs sentimentales ; alors vive la Saint-Valentin !
Initiative sympa à Lyon !
https://www.20minutes.fr/societe/2213671-20180202-lyon-amoureux-invites-declarer-amour-toute-ville-saint-valentin -
climax007 Membre élite
- 8 février 2018 à 23:36
Textoo, merci ; il n'est jamais trop tard :
"Pour mon compagnon portugais Carlos que la mort a volé, Ьаіsегs de Serge"
Je vais tenter ce message là !
Voilà qui est envoyé sur le site des panneaux lumineux de la ville de Lyon, à 23h50, ce jour, merci Textoo ! -
textoo Légende urbaine
- 9 février 2018 à 07:40
En réponse au message de climax007 :
Textoo, merci ; il n'est jamais trop tard :
"Pour mon compagnon portugais Carlos que la mort a volé, Ьаіsегs de Serge"
Je vais tenter ce message là !
Voilà qui est envoyé sur le site des panneaux lumineux de la ville de Lyon, à 23h50, ce jour, merci Textoo !
-
parfum-de-femme Membre élite
- 9 février 2018 à 11:20
Aimer un mort n'est pas aimer la vie.
Il n'est plus et tu te fais du mal pour rien.
Son compagnon n'est pas toi mais l'éternité.
Ton souvenir n'est plus en lui car lui-mêmel n'est plus en lui.
Toi qui est vivant, sois dans la vie et écris pour les vivants qui peuvent te lire, ce que ton homme disparu ne peut faire.
Il te faut l'accepter et célèbrer la vie tant que tu l'as.
-
climax007 Membre élite
- 9 février 2018 à 19:45
-
parfum-de-femme Membre élite
- 9 février 2018 à 22:21
Le souvenir ne se liquide pas; tu as raison, climax.
Il est légitime, il est important.
Mais c'est un souvenir et la tentation de le garder encore et encore au présent est comme un refus, au fond de soi, d'une réaltité cruelle autant qu'évidente.
Ce faisant, tu es un bateau qui reste à l'ancre alors que l'océan est toujours là, le vent souffle et la vie te tend les bras.
Il y a un moment pour le deuil et un moment pour larguer les amarres et continuer son chemin sur l'océan agité de la vie.
Pardonne mon intrusion dans ton passé douloureux.
Mais peut-être as tu besoin de signals comme celui que je t'envoie pour tourner une page du livre de ta vie et te mettre à en écrire un nouveau chapitre.
De temps en temps, tu tournera quelques pages en arrière et ton Simon te rappelera à ton bon souvenir de quelques moments heureux.
Ce sera alors un phare qui éclaire ta route et non plus le chant envoutant et douloureux de sirènes qui te repoussent sur les rochers du passé.
La vie est un cadeau; il te reste encore quelques paquets à ouvrir.
-
climax007 Membre élite
- 10 février 2018 à 00:24
Parfum-de-Femme : depuis cinq années je suis mélancolique, je me soigne (c'est grave), j'ai failli en mourir et je suis en congé-maladie actuellement contre une flambée mélancolique très dure, qui me réduit beaucoup à l'inertie mortifère.
C'est très dur de changer mais nécessaire sinon je crève, voilà la seule alternative. Et chaque jour est un équilibre des plus périlleux.
Ceci posé, je suis prêt à bisouter un gars tendre, et à l'aimer, et à le titiller avec un grand sourire : j'aimerais tellement qu'un gars ronchonne "Arrête de me décoiffer", alors que je le léсhегais de la pointe de sa toison recouvrant son nombril jusqu'à son menton râpeux, et que je lui désordonnerais sa chevelure déstructurée avec soin.
Une scène que j'imagine avec délice, Parfum-de-Femme.
Oh oui.
-
blue-arts Légende urbaine
- 10 février 2018 à 00:28
En réponse au message de climax007 :
Parfum-de-Femme : depuis cinq années je suis mélancolique, je me soigne (c'est grave), j'ai failli en mourir et je suis en congé-maladie actuellement contre une flambée mélancolique très dure, qui me réduit beaucoup à l'inertie mortifère.
C'est très dur de changer mais nécessaire sinon je crève, voilà la seule alternative. Et chaque jour est un équilibre des plus périlleux.
Ceci posé, je suis prêt à bisouter un gars tendre, et à l'aimer, et à le titiller avec un grand sourire : j'aimerais tellement qu'un gars ronchonne "Arrête de me décoiffer", alors que je le léсhегais de la pointe de sa toison à son nombril jusqu'à son menton râpeux, et que lui désordoinnerais sa chevelure déstructurée avec soin.
Pas encore inscrit(e) ? Créez votre profil en quelques clics seulement et profitez !
2006 - 2025 Tous droits réservés © TonGay.com