Vide abyssal de la presse dite gay.
- "Garçon" : cherchez un article de fond, peut-être que vous trouverez entre les fibres de papier !
- "Gay friendly" : à part publier les lourdeurs de J.-M. Le Pen, dernièrement, on peut igonrer l'existence de cette chose sans sel.
- Je ricane en lisant l'expression "communauté gay" : manifestement, "Têtu" n'a su causer qu'aux branchés trentenaires friqués parisiens.
Ces journalistes ont l'art d'aplatir les sujets les plus conflictuels : je ne me souviens pas d'un article de leur ponte, lors du mariage pour tous.
Pierre Bergé n'étant plus là pour éponger leur ratage de cible chronique et étant donnée l'image, étroite et pleine de préjugés, qu'ils se font de leur lectorat: ils feront donc de nouveau faillite.
- De tous les magazines gays, dans ce pays, un seul a été digne de lecture et d'attention, car il causait sехe, politique, société et les intervenants savaient écrire. ÉCRIRE !
![gai_pied_27.jpg](https://www.archiveshomo.info/archives/divers/gai_pied_27.jpg)
![GaiPied22286.jpg](https://2.bp.blogspot.com/-bSGV_6JCqiA/UwSDqVq2kpI/AAAAAAAAA3s/KkjSaXHhTj0/s1600/GaiPied22286.jpg)
Et encore, la version hebdomadaire (la première) sur papier journal était meilleure que la version mensuelle sur papier glacé (celle de la faillite) :
Je m'emmerde ferme en lisant la presse dite gay !