Ben voyons, l'addiction au sехe serait bonne pour la santé…
L’hédonisme est une chose; l'addiction en est une autre
L'OMS la classe dans les maladies mentales, le sais tu
Selon la médecine:
Le cas de l'addiction sехuеllе : la recherche systématique de multiples partenaires, des retentissements sur la santé, perte d'emploi, la famille.
Avec des manifestations même physiques de manque: Douleurs thoraciques et insomnie, impossibilité de réfréner une "boulimie d'огgаsmе".
Cette consommation d'огgаsmе est généralement associée à un syndrome anxio-dépressif. L'огgаsmе jouant alors le rôle d'anxiolytique naturel.
Enfin, l'addict sехuеl est plus généralement un "polyaddict", qui сumule ainsi plusieurs dépendances : ԁгоguеs, tabac, workahooliste, boulimie. "Mais le trait le plus caractéristique est sans doute la présence sous-jacente d'un syndrome anxiodépressif"Ce qui te dérange dans mon cas, c'est que tu ne peux m'opposer l'argument de "сul serré" puisque que je consomme du sехe comme toi, si ce n'est que je suis en mode loisir et pas en version "addict et fuite de ma réalité".
Alors, que te reste t'il comme possibilité
SIMPLE: "Je remet en doute son caractère de copulateur facile et il redevient un "сul serré" que je vais pouvoir mépriser", se dit Tom dans sa petite tête…
Cela montre bien que tu es étroit dans ta réflexion parce que, d'une part,
je ne suis pas le seul ici qui ait pratiqué les deux formules (partenaire exclusif et vagabondage sехe) et, d'autre part,
ce que j'écris ici dépasse le cadre de ton nombril ou du mien mais concerne la remise à sa place d'une pratique dont tu n'as pas l'exclusivité et qui est loin des bienfaits que tu lui attribues.
Quand à ma franchise, il n'y a plus guère que dans ton esprit tourmenté qu'elle fait débat aujourd'hui…
Mais bon, je te comprends: Quand on a plus de munitions, il ne reste plus qu'à donner des coups de crosse…