Une découverte fortuite (page 4) - Littérature & poésie

En réponse au message de vinsang :

C'est ce que je demande à un poème : le respect de cette forme classique et d’emblée reconnaissable, des rimes évidemment, des propos obscurs mais pas incompréhensibles

Pour la forme, je n'avais pas encore tué mes pères. D'aucuns trouveront ce sonnet ennuyeusement classique, mais le jeu de la contrainte formelle a un sens. Et il me semblait approprié au sujet. Tu as raison. Quant à l'obscurité, vous êtes chanceux : les effets du LSD commençaient à se dissiper.

En réponse au message de vinsang :

Ygg, bravo ! Même le grand Scribe n'aurait pas fait mieux s'il avait eu le temps de se frotter à la poésie

Mais voyons ! Si Scribe en avait eu le temps, il aurait écrit mille Bateau ivre...

En réponse au message de vinsang :

C'est ce que je demande à un poème : le respect de cette forme classique et d’emblée reconnaissable, des rimes évidemment, des propos obscurs mais pas incompréhensibles grâce à des mots savants mais pas роmреuх.

Ygg, bravo ! Même le grand Scribe n'aurait pas fait mieux s'il avait eu le temps de se frotter à la poésie

Et sinon tu penses quoi du dernier livre de Guillaume Musso ?

Notre Yggdrasil à beaucoup de dons cachés; le cachotier!

En réponse au message de greenary2 :

Notre Yggdrasil à beaucoup de dons cachés; le cachotier!

Au moins, celui-ci est avouable !

En réponse au message de superbi :

En réponse au message de vinsang :

C'est ce que je demande à un poème : le respect de cette forme classique et d’emblée reconnaissable, des rimes évidemment, des propos obscurs mais pas incompréhensibles grâce à des mots savants mais pas роmреuх.

Ygg, bravo ! Même le grand Scribe n'aurait pas fait mieux s'il avait eu le temps de se frotter à la poésie

Et sinon tu penses quoi du dernier livre de Guillaume Musso ?

Who ?

Lisa rêve de devenir comédienne. Pour payer ses études d’art dramatique, elle travaille dans un bar de Manhattan. Un soir, elle fait la connaissance d’Arthur Costello, un jeune médecin urgentiste. Leur complicité est immédiate.
Pour le séduire, Lisa est prête à tout. Dans une ville-labyrinthe qui n’offre aucun répit, elle prend tous les risques. Mais Arthur n’est pas un homme comme les autres. Bientôt, il révèle à Lisa la terrible vérité qui lui interdit de l’aimer :

« Ce qui m’arrive est inimaginable, et pourtant bien réel… »

Dans un New York plus imprévisible que jamais, Arthur et Lisa vont lier leur destin pour déjouer les pièges que leur impose le plus impitoyable des ennemis : le temps.

Un thriller psychologique vertigineux
au final stupéfiant.

Un p'tit dernier ; et j'arrête !

En autres marottes, le cercle des poèmes disparus revisitait mythologie, contes et légendes. Les textes - en forme d'odes ou de sonnets - s'entrecoupaient de scénettes. Petits quatrains légers et vers de mirliton. Il n'en reste qu'un.

Mardi.

Pas de bataille,
Pas de mitraille.
La mort à tirs d’ailes s’enfuit
Et Tyr d’elle s’ennuie.

j'arrête

Oui, tu as bien raison !!! Mouahahaha x)

C'est Pégase, il m'a dit de te dire ça, c'est pas de ma faute !!

En réponse au message de madeinfrance :

j'arrête

Oui, tu as bien raison !!! Mouahahaha x)

C'est Pégase, il m'a dit de te dire ça, c'est pas de ma faute !!

Pégase parle comme un enfant prodigue ! Il a bien raison.

Soyez rassurés ! Pas de nouveau texte...

Quelques mots de remerciement à l'attention des Tongaysiens : ceux qui ont accepté de perdre un peu de leur temps pour me lire, tout simplement ; ou laisser quelques mots (ne serait-ce que pour de rire) sur ce topic, par MP, ou en conversation privée. Merci notamment à un doctorant en lettres qui m'a offert le commentaire très intéressant de mon texte. Il se reconnaîtra.