Une morale matérialiste de l'écriture (page 2) - Littérature & poésie

Magnifique

- Nous avons donc un amateur de musique, Jiminy, qui se donne beaucoup de peine pour ses sujets musicaux ; il vient, avec l'insulte, me donner des leçons de convivialité.

Je constate que, pour Jiminy, ça baigne : pas de remarques désobligeantes sur ses sujets, et il ne manquerait d'ailleurs plus que cela ; des remarques pertinentes à propos de la musique.

Bien, parfait. Jiminy a signé un armistice avec les "trolls" du site et il abonde maintenant dans le même sens qu'eux. Grand bien lui fasse !

- L'appétit de la conversation faisant défaut ici,

et ce site n'étant pas du tout coopératif et collaboratif,

il est bien évident que l'effort d'écrire

sоumіs à l'effort critique des lecteurs

n'a pas lieu d'être ici, vu le public majoritaire.


-- Toon, "magnifique", oui mais encore ? Qu'est-ce que cela t'inspire, en fait de pensées ? C'est ce qui m'intéresse ; la louange est mieux que le non-sens des "trolls", mais cela ne nous mène pas à un échange. Bien à toi !


- En résumé, j'exprimais QUI écrit en moi, à partir de quelles déterminations personnelles m'ayant constitué, d'où la nature de mes textes, voilà tout.

En réponse au message de clicli-un-max-007 :

- un amateur de musique, Jiminy, vient, avec l'insulte, me donner des leçons de convivialité.

Bien, parfait. Jiminy a signé un armistice avec les "trolls" du site et il abonde maintenant dans le même sens qu'eux. Grand bien lui fasse !

De quelle insulte s'agit-il STP O sublime clicli visionnaire ?

N'être pas d'accord avec toi est-il une insulte ?
Trouver ton discours "un peu schyzo" est-il une insulte ?

Tu te permets de 'confirmer l'imbécillité des intervenants' qui n'apprécient pas ta merveilleuse prose, ce qui est, reconnais-le, leur droit, non ?

Aussi je te trouve, vu ton inextricable charabia, pardon, ton "essai littéraire", "kafkaïen de prétention".
Est-ce une insulte ou un simple constat qui rejoint celui des autres ?

Par ailleurs, quand tu étais au 36è dessous, paniqué par le silence de ton futur аmапt pour lequel tu avais osé quitter TonGay, ta vraie vie, sans certitude véritable,
t'ai-je donné des leçons de convivialité en te soutenant moralement à ta demande à "x" reprises ?
Tu m'en avais cependant remercié et écrit apprécier mon côté humain...
Fermons la parenthèse, O mémoire trop courte....

Tu ne m'en voudras pas de te trouver non seulement insultant pour autrui, mais aussi bien ingrat envers qui sait te tendre la main juste pour une question de non appréciation de jargon.

Remets-toi donc plutôt en question.
As-tu songé que peut-être serais-tu mieux apprécié si tu t'exprimais de manière plus simple et moins alambiquée,
O gloire écrivaine obscure dont tout le monde s'acharne à ignorer l'incommensurable talent !!

Tu m'as pourtant, un jour d'extrême lucidité, avoué savoir en ton for intérieur, n'avoir rien d'un Molière ou d'un Hugo !

Alors, sache rester modeste, tolérant, et ne la ramène pas inutilement.

Bon réveillon !

- "Kafkaïen d'intention" (scripsit Jiminy) ? Ciel : Franz Kafka, le meilleur écrivain de langue allemande des années Vingt du vingtième siècle et celui qui fascine le plus, à juste titre, vu son calibre !!!

Le malheur de Franz Kafka est d'avoir dû recourir l'écriture comme à une thérapie, et ses pages inégalables (dont il avait demandé, à Max Brod, la destruction posthume) nous représentent sa ргоfопԁе détresse : le monde n'a pas de sens discernable ; la justice est faite d'arbitraire souverain ; le père est un être féroce, inflexible ; l'enfermement ("Le Terrier") est l'état naturel des hommes qui, à peine, se perçoivent au loin, et se méfient, et se scrutent, et supposent ce qui se passe chez leurs pareils, leurs semblables étrangers.

Les métaphores de Kafka ("Le Procès" par exemple, métaphore filée) condensent tellement de sentiments, d'atmosphères intérieures, d'éléments de la vie vécue dans le monde commun ou dans l'imaginaire, de paraboles philosophiques, de données prises comme telles sans nécessité de signifier une thèse qu'elles en sont inépuisables : irréductibles à une seule signification

J'aurai eu, à la différence de F. Kafka, la chance d'être sauvé par des psychothérapeutes (et, merci à la Sécurité sociale !), il est vrai que je ne souffrais pas d'une phtisie (incurable vers 1920, sans la pénicilline) : mes textes sont moins bons que les siens (mais je ne le singe pas !) ; et j'estime que sur cinq centaines de mes sonnets, un cinquantaine a de la valeur : voilà où se hausse mon estimation !


---- J'apprécie toujours de converser de Franz Kafka.

Tu parles de TonGay à tes psys?

En réponse au message de jiminy :

En réponse au message de clicli-un-max-007 :

- un amateur de musique, Jiminy, vient, avec l'insulte, me donner des leçons de convivialité.

Bien, parfait. Jiminy a signé un armistice avec les "trolls" du site et il abonde maintenant dans le même sens qu'eux. Grand bien lui fasse !

De quelle insulte s'agit-il STP O sublime clicli visionnaire ?

N'être pas d'accord avec toi est-il une insulte ?
Trouver ton discours "un peu schyzo" est-il une insulte ?

Tu te permets de 'confirmer l'imbécillité des intervenants' qui n'apprécient pas ta merveilleuse prose, ce qui est, reconnais-le, leur droit, non ?

Aussi je te trouve, vu ton inextricable charabia, pardon, ton "essai littéraire", "kafkaïen de prétention".
Est-ce une insulte ou un simple constat qui rejoint celui des autres ?

Par ailleurs, quand tu étais au 36è dessous, paniqué par le silence de ton futur аmапt pour lequel tu avais osé quitter TonGay, ta vraie vie, sans certitude véritable,
t'ai-je donné des leçons de convivialité en te soutenant moralement à ta demande à "x" reprises ?
Tu m'en avais cependant remercié et écrit apprécier mon côté humain...
Fermons la parenthèse, O mémoire trop courte....

Tu ne m'en voudras pas de te trouver non seulement insultant pour autrui, mais aussi bien ingrat envers qui sait te tendre la main juste pour une question de non appréciation de jargon.

Remets-toi donc plutôt en question.
As-tu songé que peut-être serais-tu mieux apprécié si tu t'exprimais de manière plus simple et moins alambiquée,
O gloire écrivaine obscure dont tout le monde s'acharne à ignorer l'incommensurable talent !!

Tu m'as pourtant, un jour d'extrême lucidité, avoué savoir en ton for intérieur, n'avoir rien d'un Molière ou d'un Hugo !

Alors, sache rester modeste, tolérant, et ne la ramène pas inutilement.

Bon réveillon !

- Oui, tu m'as aidé. Merci.

- Il n'y a que dans ton imagination que je la 'ramène".

C'est "la ramener" que d'accorder de la valeur à ce que j'écris avec effort ?

Je ne crois pas au talent mais au travail, par ailleurs.

Je sais distinguer quand je jargonne et quand c'est plus limpide.

Il n'y a pas de "gloire' non reconnue mais, simplement, moi qui aime écrire

- L'immédiate compréhension n'est possible qu'avec des modes d'emploi d'objets (quand ce ne sont pas des traducteurs automatiques qui pondent les notices françaises).

-- Les "trolls" se sont toujours prévalus de leur droit inaliénable à faire la leçon, ici ; "où est le mépris ?", mais relis-toi, Jiminy, tu trouveras tout seul (exemple : "littéraires", que tu mets entre guillemets, et le verbe "prolifère", ...)

- Savoir rester modeste

n'équivaut pas à m'écraser

devant les méprisants.

En réponse au message de tony_truand :

Tu parles de TonGay à tes psys?

Oui, entre autres choses.

En réponse au message de jiminy :

En réponse au message de clicli-un-max-007 :


Se confirme donc l'imbécillité des interventions.
[/B]

Les tiennes y compris.

"Kafkaïen" de prétention...

Mon pof clicli, l'absence ne t'a pas arrangé...
Continue donc de proliférer sur les autres sites "littéraires" !

Où est le mépris se demande (serait-ce en se foutant de ma tronche ???) Jiminy ?

Dans : - "Kafkaïen" de prétention (je ne serais qu'un semblant d'émule de F. Kafka, et en plus d'une imitation, une fausse imitation) ; - mon pof (pour "mon pauvre") ; - l'absence ne t'a pas arrangé (le jugement sur ma personne, c'est le sujet ???) ; - continue donc ; - proliférer (bref, je serais polygraphe, j'envahirais comme les ronces ou la vermine).


Certains m'estiment démesurément obscur ;
moi je vois, dans l'intervention ci-dessus, un mépris

qui s'exprime avec clarté
et qui ne se met pas en question.

Dont acte. Je ne polémique pas davantage.

En réponse au message de tony_truand :

Tu parles de TonGay à tes psys?

j'adore..... à m'en arracher la gorge , je prie tous les sеіпs et les рhаllus , les poils à frire , au fer à cheveux à m'en hérisser l'épi derme de mon séant ...scuplé de mains de mаіtгеs , par Manpower, avec quatre bras , deux jambes de cheval , de pouvoir rencontrer , aussi odieux personnage que toi ....merci