De plus en plus de cas de graves d’effets secondaires du Veklury (remdesivir) sont révélés de par le monde. C'est ainsi que des lésions hépatiques et rénales, mais aussi des problèmes cardiovasculaires ont été rapportés et bizarrement
peu relayés par les médias. l'American Society of Health-System Pharmacists, une fondation américaine qui propose une pharmacovigilance réalisée par les pharmaciens eux-mêmes, commence à signaler des alertes concernant les effets secondaires observés . En effet, une rédactrice en chef de cette fondation, pharmacienne, explique que « les premières données sur l’innocuité humaine du remdesivir provenaient du système de traitement du virus Ebola, où le médicament inhiЬіtеur de l’analogue des nucléotides et de la polymérase avait ce qu’un examen a appelé
« un profil d’innocuité acceptable » bien qu’il n’ait pas été plus efficace que d’autres options expérimentales essayées. Les seuls événements indésirables rapportés dans cet essai étaient
des décès, et le seul jugé comme étant potentiellement imputable au remdesivir était un cas d’hypotension suivi rapidement d’un arrêt cardiaque. »
La pharmacienne rajoute quant aux effets indésirables retenus : « C’était surprenant quand ceux-ci sont sortis ; il y avait une liste d’effets secondaires très courte. C’est soit le médicament le plus sûr qu’il y ait, ou... ». Ou tout est fait pour dissimuler la toxicité de ce médicament. Pour nous en convaincre, il nous faut donc passer en revue les essais réalisés avec le Veklury (remdesivir). Nous parcourons donc les publications du site dédié, PubChem du National Center for Biotechnology Information . Là encore, malgré les très nombreux essais cliпіԛuеs réalisés depuis 2015, il n'y a pas d'éléments précis et rigoureux alors que normalement les essais des phases I et II ont précisément pour objectif d’évaluer la tolérance d’un médicament. On remarque que soit les essais ont été arrêtés précocement pour des raisons mal précisées, soit qu’il a été considéré que les atteintes étaient provoquées par la maladie.
Dans les deux cas, on aimerait disposer d’une analyse claire des conclusions d’imputabilité de la responsabilité de la moléсule.
que d'infos intéressantes , c'est dire que je m'intéresse à tout cela !!!