En réponse au message de wokepice :
[Année 2016 Le ParisienLes militants d'ultragauche, qui ont recours aux messageries cryptées pour se fixer rendez-vous, revendiquent le recours à la violence - ces « 50 nuances de bris » - comme moyen d'abattre l'Etat, mais aussi de fédérer une contre-société. D'où le fameux Black Bloc, qui définit une stratégie d'action. Dissimulation de matériel (cocktail Molotov, barres de fer...) lors du parcours, dans des véhicules, marteau caché dans un sac à dos, changement de tenues à l'abri d'une Ьапԁегole... Le « bloc noir » se mêle aux manifestants pacifiques pour s'en prendre aux forces de l'ordre (le 1er mai dernier, un CRS était transformé en torche vivante) ou aux banques (le 10 octobre, les façades d'agences de la Bred et d'HS-BC en faisaient les frais).
Inanité idéologique.
- Le mouvement ouvrier, sauf périodes de clandestinité forcée, et pays ayant une légalité interdisant les organisations syndicales indépendantes de l’État, ne cryptent rien mais rassemblent sous des mots d'ordre clairs destinés à rassembler et à clarifier à chacun sa condition d'exploité !
- L'Etat ne s'abat pas par morceaux mais par la prise du pouvoir, pour le changer, le démolir, parvenir à son extinction (bref, il y a là une nette parenté avec le philosophe, très prisé des bobos, Michel Foucault qui prétendait observer une dissémination du pouvoir politique dans tout le corps social).
- Le mouvement ouvrier définit des buts avant de définir des stratégies d'action ! Il n'agit pas pour agir, poursuivant sa course comme ça, et voilà !
- Le mouvement ouvrier ne brûle pas des symboles, sauf utilité démonstrative : brûler le drapeau national en cas de belligérance de l'Etat qui prétend être le nôtre.