Bonjour à toutes et à tous
Votre santé en danger:
Un ingénieur agronome a retrouvé il y quelque temps dans une bibliothèque, un ouvrage oublié des années 50 sur l'agriculture.
Dans ce livre sont classés toutes les variétés de fruits, légumes et céréales de l'époque ainsi que l'analyse détaillée de leurs teneurs en vitamine et calorie, en fait tout ce dont notre corps a besoin pour être en bonne santé et la conserver.
Il a eu également l'idée d'analyser les mêmes produits ou équivalent dont nous disposons aujourd'hui pour comparer et là, le résultat est sans appel.
La plupart des aliments que nous consommons aujourd'hui fruits, légumes et céréales sont devenu des coquilles vides sur le рlап nutritionnel.
Même dans les aliments réputés sains, vitamines A et C, protéines, phosphore, calcium, fer et autres minéraux ou oligo-éléments ont été divisé par deux, par 25, voire par 100, en un demi-siècle !
Pour retrouver les qualités nutritionnelles d’un fruit ou d’un légume des années 50, il faudrait aujourd’hui en manger une demi-cagette !
Hier, quand nos grands-parents croquaient dans une pomme ils аvаlaient 400 mg de vitamine C, indispensable à la fabrication et à la réparation de la peau et des os. Aujourd’hui, les supermarchés nous proposent des bacs de pomme standardisées, qui ne nous apportent que 4 mg de vitamine
Précieuse pour notre vue et nos défenses immunitaires, la vitamine A est en chute libre dans 17 des 25 fruits et légumes analysés
Il y a un demi-siècle, une seule orange couvrait la quasi-totalité de nos besoins quotidiens – les fameux AJR (apports journaliers recommandés) – en vitamine A.
Aujourd’hui, il faudrait en manger 21 pour ingurgiter la même quantité de la précieuse vitamine. De même, une pêche des années 50 équivaut à 26 pêches aujourd’hui.
Le déclin est total pour la pomme de terre et l’oignon qui, aujourd’hui, n’en contiennent plus le moindre gramme.
Au début de la chaîne, il y a la céréale. Blé, maïs et soja, ils sont aujourd’hui plus pauvres en zinc, en cuivre et en fer qu’il y a cinquante ans. Appauvries par des décennies d’agriculture intensive et de sélections variétales, ces céréales réapparaissent dans l’auge de nos bêtes, qui, par répercussion, se trouvent moins bien nourries que leurs ancêtres.
En bout de chaîne, l’animal devenu steak apportera moins de micronutriments dans nos assiettes, un même morceau de viande apporte deux fois moins de fer qu’un demi-siècle auparavant.
Le lait également a perdu ses acides gras essentiels à nos membranes cellulaires, notre système nerveux et notre cerveau.
Naturellement présents dans l’organisme en très petite quantité, ils doivent nous être apportés par l’alimentation.
Les responsables de cette hécatombe ? : la culture intensive, des sols plus pauvres, des végétaux cueillis trop tôt, des traitements de conservation plus fréquents, des croissances plus rapides dopées par les engrais et une réduction du nombre de variétés, sélectionnées pour leur résistance aux parasites et leur rapidité de croissance, avec en plus des ajouts d'intrants pour la plupart toxique pour l'homme.