est Siegmund, chantant l'illustre "Winterstürme" du
1er acte de "la Walkyrie" de R. Wagner,
sous la très belle direction de Bruno Walter.
Il fut l'un des rares et magnifiques ténors héroïques,
'Heldentenor' de légende, l'un des dieux du chant wagnérien.
Enjoy !
yzzug
Membre élite
21 avril 2016 à 05:52
Bonjour Jiminy
Une voie grave bien masculine ce matin .. Raid cette langue .... Un affaire de spécialiste ce morceau.
Merci de cette découvre
sorbet
Membre élite
21 avril 2016 à 07:06
tendredu59
Membre expérimenté
21 avril 2016 à 08:27
Quelle époque!.....Merci Jiminy.
ji13
Membre élite
21 avril 2016 à 11:09
lessismore
Membre suprême
21 avril 2016 à 13:27
A tes souhaits!
hanssachs
Membre occasionnel
22 avril 2016 à 08:00
Simplement incomparable, l'un des plus grands disques de tous les temps, aussi grâce à la lumineuse Lotte Lehmann !!!
jiminy
Membre émérite
22 avril 2016 à 08:05
En réponse au message de hanssachs :
Simplement incomparable, l'un des plus grands disques de tous les temps, aussi grâce à la lumineuse Lotte Lehmann !!!
Max Lorenz est très bien aussi,
mais j'ai toujours eu une nette préférence pour Melchior, son héroïsme et sa musicalité.
"Incomparable" est le MOT.
hanssachs
Membre occasionnel
22 avril 2016 à 08:12
Oui, bien sûr, il y a Lorenz, il y a Volker, il y en a d'autres encore, mais bon, Melchior est unique !
Il faut aussi oser l'écouter dans ses Live du Met ou de Covent Garden, malgré des qualités de son aléatoires, pour mesurer le rayonnement, le magnétisme de cette voix dans les conditions vraies de l'interprétation instantanée au théâtre...
Son Siegfried intégral, en 1937 avec Schorr, Flagstad, Habich etc est simplement renversant...
jiminy
Membre émérite
22 avril 2016 à 16:51
En réponse au message de hanssachs :
Oui, bien sûr, il y a Lorenz, il y a Volker, il y en a d'autres encore, mais bon, Melchior est unique !
Il faut aussi oser l'écouter dans ses Live du Met ou de Covent Garden, malgré des qualités de son aléatoires, pour mesurer le rayonnement, le magnétisme de cette voix dans les conditions vraies de l'interprétation instantanée au théâtre...
Son Siegfried intégral, en 1937 avec Schorr, Flagstad, Habich etc est simplement renversant...