Il a simplement compris que son bilan en tant que ministre de l’Économie allait être indéfendable ; il a donc choisi de se débiner vitesse grand V avant de porter la macule politique des résultats catastrophiques qu'on allait lui demander d'assumer pour laisser le champ libre à d'autres candidats, à la fin de quinquennat. Il en a profité pour émettre des critiques populistes à l'encontre de la politique qu'on lui a demandé de mener, mais dont il avait pleinement accepté les règles du jeu.
Bref, à malin, malin et demi. Par une déloyauté crasse, il a anticipé les croche-pieds et autres "entubages" qu'on tenait prêts contre lui. Ce n'est glorieux ni pour l'un, ni pour les autres... et ça me fait mal de l'admettre !