Il le dit à la fin "ce signe de dieu en chaque être".
Tout son développement m'a plu jusqu'à cela.
De un, je ne crois pas en l'âme. Toutefois, sa définition de l'âme me parle beaucoup quand il l'oppose au corps. Mais comme il en fait référence spirituelle à la fin, ça casse tout.
De ce fait, une âme n'est rien pour moi. Je n'appellerai pas ça ainsi, plutôt "être", notre être. Dissociable du corps mais y appartenant aussi, c'est un tout. Un corps modulable mais un être qui nous est propre.
Cet être serait nos convictions, nos pensées, nos manières de faire, d'agir. Cet être pourrait aussi être modulable via certains facteurs externes. L'exemple qu'il a pris avec Camus est intéressant en ce sens.
Ainsi, l'âme (l'être pour moi) = moi, ce que je suis (toi pour toi ce que tu es, lui pour lui, etc. hein !)