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Ca y'est c'est voter !!! (page 7) - Le "Blabla" bar

Sujet de discussion : Ca y'est c'est voter !!!
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 24 juillet 2019 à 18:43
    Bigard en parle dans son skech sur la salle d'attente du medecin

  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 24 juillet 2019 à 18:53
    En réponse au message de benoitdeprincy :


    oui les mômes , réclament de la fermeté , de l'assurance , de leurs parents mais pas de la tyrannie , ou des claques ou des fеsséеs ...autrefois , on craignait l'adulte , à l'école qu pouvait te gifler , sans problèmes. Maintenant , heureusement ce n'est plus le cas ...sauf que Tu dois des fois Te justifier ,quand tu sanctionne un môme ...et aussi avoir une bonne assurance civile et juridique , face à des parents vindicatifs , pour des conneries …


    On peut porter la main sur son enfant sans être un tyran, tu sais…
    Les rares fois où je l'ai fait, je l'ai fait POUR mes enfants et non pas pour me gargariser de mon ascendant sur eux.

    Tu brosse, en quelques mots, les changements d'un demi-siècle: Du pouvoir absolu des adultes sur les enfants aux mains liées quand aux moyens d'arriver à faire avec eux un bon travail éducatif.

    Ne passe t'on pas d'un extrême à l'autre

    En réponse au message de acis :

    J'apprécie beaucoup le débat construit autour de cette question, dans la divergence des avis.

    Entre discutes et disputes, il y a le рlаіsіг de savoir ce que pense l'autre, celui de la défense de ses convictions ne visant pas à atteindre l'autre mais à le renseigner sur sa façon de penser et son ехрéгіепсе personnelle.

    Je me sens privilégié quand quelqu'un comme Benoît ou toi-même font l'effort de réfléchir sérieusement sur ce sujet et partage ce qu'ils en pensent.

    En réponse au message de acis :


    Un paradoxe.

    Il existe donc une catégorie d’individus – les enfants – abandonnés partiellement à la puissance d’autrui. Et l’on admet que l’éducation puisse être exercée comme un pur pouvoir par les parents, avec une violence modérée dont le curseur est mouvant (où s’arrête la « bonne » violence et où commence la maltraitance ?), en dérogation aux principes fondamentaux visant au respect de l’intégrité de toute personne, et particulièrement à la protection renforcée des personnes vulnérables.

    Je pense que, pour le coup, le législateur fait preuve de sagesse pratique.

    Il a conscience de ne pouvoir correctement mettre son nez dans ce qui se passe dans les maisons.
    Il sait qu'on est tous des apprentis parents qui faisons des erreurs.
    Il y a donc en quelque sorte un domaine réservé au sеіп de la famille qui voit ses adultes dans un espace de liberté plus grand qu'au sеіп de la société civile.

    Le législateur exige la paix dans la société et a (normalement) les moyens de la garantir, justement par des forces de l'ordre.
    Il en va différemment de la famille où sa prétention n'est pas assortie les moyens de prévenir les excès du quotidien.

    En réponse au message de acis :



    Accepter la violence éducative, c’est accepter une forme de violence impossible à circonscrire, en ce qu’elle dépend de la personnalité des parents, de celle des enfants et d’une appréciation singulière de la proportionnalité entre le coup et la bêtise ; et encore ! si bêtise il y a.

    Qu'on l'accepte ou pas, des dizaines de milliers d'enfants en France souffrent de parents qui font n'importe quoi avec eux…

    La fеsséе ou la taloche, ce n'est qu'un arbre qui cache la forêt.

    Combien d'enfants sont au milieu de scènes de ménage, enfermés seul à la maison pendant que les parents sont partis s'amuser
    Combien "profitent" de l'alcoolisme, de la toxicomanie, de la dépression de qui exerce l'autorité parentale sur eux
    Combien, pour x raison, sont méprisés par rapport à un frère ou une sœur favorisé

    Tout cela est connu et les dégâts sont terribles.
    Pendant ce temps, on débat de la fеsséе…

    En réponse au message de acis :


    Sans violences éducatives, des « enfants-rois » ?

    On pense également qu’en absence de violences éducatives, on регvегtit l’enfant au point de faire de lui un tyran. Un enfant serait d’autant plus irrespectueux et plus agressif qu’il n’a pas été corrigé physiquement. C’est un postulat qui confine au raccourci intellectuel pour justifier la violence.
    Le fait d’avoir été frappé peut être, au contraire, pour un enfant, facteur de comportement agressif, en ce que l’enfant peut reproduire avec les autres ce qu’il vit dans son foyer, et que la violence devient un moyen normal de règlement des conflits avec ses camarades et avec les autres adultes, puis ses propres enfants.

    Il peut – et doit – exister un corps de règles dont le respect n’impose aucunement de récompense et dont le non-respect emporte punition si l’enfant, après compris la règle et son bien-fondé, s’obstine ; sans que cette punition passe par la violence physique ou l’humiliation.

    Si les enfants ont besoin de coups pour se calmer c'est qu'ils ont été habitués aux coups et en viennent à en avoir besoin pour trouver le calme

    Sur trois enfants, soit plus d'un demi-siècle de parcours éducatif, j'ai porté la main sur un de mes enfant bien moins d'une fois par an.

    On est donc sur quelque chose qui n'est nullement habituel et qui ne crée pas d'habitude de donner ou recevoir des coups.
    Si tel était le cas, on parlerais de tout autre chose que, moi aussi, je condamne.

    L'utilité du recours à la violence n'est donc pas dans sa pratique mais dans la signification qu'une limite a été franchie et que, la prochaine fois, la sanction sera du même tonneau.

    Ce simple message clair borne l'enfant dans ces même limites, sans qu'il soit utile, le plus souvent, de renouveler la correction.
    C'est la certitude de cette réaction qui le dissuade de mériter une réitération de la fеsséе.

    En réponse au message de acis :


    Il est tout-à-fait possible de faire le choix de changer son approche, d’éduquer sans violence. Mais réviser ses méthodes éducatives impose une remise en question qui est d’autant moins simple à admettre que la violence éducative est un phénomène prôné par plusieurs générations. Elles reproduisent le même modèle dans le questionner. C’est également difficile pour un parent de critiquer l’éducation qu’il a donnée à ses enfants.

    Je ne suis pas d'accord avec toi.
    Frapper son enfant est un acte qui ne se commet pas à la légère.
    Je l'ai toujours fait dans un sentiment d'échec de la communication.
    Mais il faut bien comprendre que cet échec peut arriver malgré tous les efforts que l'on aura fait pour que, par la parole, son enfant arrête de déconner.

    Quand c'est le cas, on fait quoi; on laisse tomber

    Je suis très heureux d'avoir pu conduire mes enfants vers l'âge adulte quasiment sans aucune violence.
    Mais je t'assure que, dans les très rares cas où j'en ai eu besoin, elle a apporté une vraie solution et n'a pas eu pour objet le soulagement de mes nerfs.


    En réponse au message de acis :


    De même, la violence n’a jamais été pas une garantie pour le respect de la règle et des interdits nécessaires à la sécurité de l’enfant comme à sa vie en collectivité au sеіп de sa famille ou en dehors. Beaucoup d’enfants vivent dans un milieu de violences éducatives quotidiennes qui ne font jamais leurs preuves. Combien existe-t-il de foyers dans lesquels des parents ne parviennent pas à faire façon de leurs enfants en dépit de la surenchère de ces violences ? Il y a plusieurs raisons à cela.
    Les enfants, s’y étant accoutumés, finissent par ne plus craindre les coups. Et les enfants vont parfois jusqu’à pousser à bout leurs parents parce qu’ils en viennent à rechercher des coups qu’ils ne rechercheraient pas s’ils n’y étaient pas habitués.

    Je suis d'accord avec toi puisque tu place le décors dans le cadre d'une VIOLENCE QUOTIDIENNE au sеіп d'une famille.

    On est là dans une situation inacceptable, très éloignée d'une fеsséе ou d'une gifle à caractère exceptionnel.

    En réponse au message de acis :


    Effectivement, si un enfant non habitué à la violence éducative transgresse les règles et est corrigé physiquement par un tiers, il va se calmer. L’adulte va fanfaronner et se présenter comme détenteur de la bonne méthode éducative ; si ce n’est que la sidération ressentie par l’enfant repose non sur l’autorité naturelle d’un adulte responsable d’une bonne éducation mais sur la peur imposée par le détenteur de la force physique. La logique est très différente et j’ai du mal à comprendre l’honneur qu’il y a à imposer la peur à plus faible que soi.


    La question n'est pas de bomber le torse ou de fanfaronner…

    C'est ton rôle de parent de fixer à cadre à tes enfants.
    Quand ils en sortent, il faut réagir, d'abord en leurs expliquant.
    Ensuite, faire les gros yeux suffit pour certains enfants, élever la voix calme d'autres.
    Certains vont AVOIR BESOIN d'une fеsséе ou d'une gifle ou de se faire décolles du sol pour comprendre que le rapport de force n'est pas de leur coté.
    Ils ne sont pas meilleurs ou moins bons que les premiers mais, leur personnalité fait qu'ils poussent le bouchon plus loin.


    En réponse au message de acis :


    Les enfants-rois naissent de la permissivité et de l'absence de règles ou d'interdits ; pas de l'absence de violence dans l'éducation car la respect de la règle ne passe pas nécessairement par la punition violente.

    Des règles et des interdits que tu ne peux encadrer sont nul et non avenus.
    C'est en cela que la violence vient parfois au secours de parents qui vont utiliser leur supériorité physique pour ramener un enfant dans le cadre.

    Encore une fois, tu fais quoi, concrètement, quand ton enfant persiste et signe et qu'il n'est pas accessible au raisonnement
    On peut toujours dire: "Il faut faire en sorte que, etc…"

    La réalité concrète étant que si tu laisse couler, ce n'est pas la gifle qui va faire jurisprudence mais la dissidence victorieuse de ta chère tête blonde.
    La suite, tout le monde la connaît…
  • stiky Membre suprême
    stiky
    • 24 juillet 2019 à 19:41
    En réponse au message de benoitdeprincy :

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    Pas d'accord là-dessus. L'enfant fait aussi ses propres choix.
    Un enfant battu ne sera pas forcément violent avec ses propres enfants, je dis cela en connaissance de cause (non, je ne parle pas de moi en tant qu'enfant battu).
    Dire qu'il apprend ce qu'il vit n'est pas entièrement vrai.
  • benoitdeprincy Membre élite
    benoitdeprincy
    • 24 juillet 2019 à 20:38
    Pas d'accord là-dessus. L'enfant fait aussi ses propres choix.

    bonsoir , j'espère , bien , maintenant , j'aimerais , comment, est favorisé le" choix "
    je me souviens d'une triste ехрéгіепсе sur le choix de l'enfant ..je travaillais en centre maternel , et notre action pédagogique , se devait de favoriser le choix de l'enfant ...c'était plu^tot , notre choix à nous qui tait valorisé ...nous faisions des sondages , aux quels , les enfants répondaient par oui ou non , sans explication , sur leur ressenti , leur рlаіsіг ...Il m'a été difficile de remettre en cause le fonctionnement dictatorial de cette directrice de centre , et j'ai du démissionner ..Elle répondait , plus au désir de la politique clientéliste de la mairie , que le réel besoin et choix de l'enfant …
    réellement respecter le choix de l'enfant demande un vrai travail , plus dérangeant pour l'adulte parce quil demande un vrai travail d'analyse de réflexion , d'organisation ...c 'est un rêve mais la réalité ,nous mène à organiser plus un collectif ,que collégial , et non le réel bien être, total , de l'enfant …
    ****
    Un enfant battu ne sera pas forcément violent avec ses propres enfants, je dis cela en connaissance de cause (non, je ne parle pas de moi en tant qu'enfant battu).

    malheureusement , je fus un enfant maltraité et battu comme tant d'autres , et comme moi , le reconnaisse , que cela , sans travail , sans accompagnement , on ne peut s'en libérer ...A côté de cela , , j'ai eu, une enfance riche et dure développer et acquis des valeurs fortes sur l'amitié, l'engagement le respect de, la parole donnée, la sincérité , dans les rapports humains , l'implication , et le volontariat , ce qui m'as orienté , comme bon ,nombre ,vers ce métier ..
    .cependant m^me s', il m'a fallu des années de thérapie , pour admettre soigner , panser tous ces coups , afin que moi même , comme tant d'autres , on ne deviennent pas des maltraitants , des violents ...
    je mourrais avec mes blessures , et comme dit le proverbe , le pardon ,n'efface pas les bosses ...

    Dire qu'il apprend ce qu'il vit n'est pas entièrement vrai.
    l'enfant , apprend , de tout , partout , comme l'adulte , quand il le veut
  • benoitdeprincy Membre élite
    benoitdeprincy
    • 24 juillet 2019 à 20:47
    Bonsoir Acis,
    Dolto , et tant d'autres ont permis de faire avancer la réflexion , sur l'enfant ...comme l'enfant , en général , la pensée , est en évolution , cependant , certaines bas restent …
    j'ai été animateur bénévole , chez les Scouts de France , avant ce m'engager professionnellement, dans l'animation ,socioculturelle ..jeune face à de vieux militants , des fois j'étais bousculés , par leur manque d'implication , ou leur manque de remise en cause ...comme tous les jeunes , j'en voulais ...cependant , ma passion pour ce métier n'a pas changer , je me suis constamment formé ...et mes formateurs , les grands pédagogues , je ne les ai pas reniés , maintenant , je relativisais maintenant je sais que la plupart avait raison ,cependant , tout était ехрéгіепсе et pas toujours reproduisible ...ce que je sais , c'est qu il faut continuer de s'interroger sur notre action ,éducative , le sens , ect ...et laisser parler , les critiques …
    j'ai deux mаіtгеs , enparticulier parmi tant d'autres , un le fondateur du scoutisme , 3baden Powell, et l'autre , un célèbre éducateur , fernand Deligny ….voilà
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 24 juillet 2019 à 20:57
    En réponse au message de benoitdeprincy :

    Bonsoir Acis,
    Dolto , et tant d'autres ont permis de faire avancer la réflexion , sur l'enfant

    Oui enfin bon quand on sais ce qu 'est devenu son fils...
  • stiky Membre suprême
    stiky
    • 24 juillet 2019 à 23:57
    En réponse au message de benoitdeprincy :

    En réponse au message de stiky :

    Un enfant battu ne sera pas forcément violent avec ses propres enfants, je dis cela en connaissance de cause (non, je ne parle pas de moi en tant qu'enfant battu).

    malheureusement , je fus un enfant maltraité et battu comme tant d'autres , et comme moi , le reconnaisse , que cela , sans travail , sans accompagnement , on ne peut s'en libérer ...A côté de cela , , j'ai eu, une enfance riche et dure développer et acquis des valeurs fortes sur l'amitié, l'engagement le respect de, la parole donnée, la sincérité , dans les rapports humains , l'implication , et le volontariat , ce qui m'as orienté , comme bon ,nombre ,vers ce métier ..
    .cependant m^me s', il m'a fallu des années de thérapie , pour admettre soigner , panser tous ces coups , afin que moi même , comme tant d'autres , on ne deviennent pas des maltraitants , des violents ...
    je mourrais avec mes blessures , et comme dit le proverbe , le pardon ,n'efface pas les bosses ...

    En réponse au message de stiky :

    Dire qu'il apprend ce qu'il vit n'est pas entièrement vrai.

    l'enfant , apprend , de tout , partout , comme l'adulte , quand il le veut

    C'est ton ехрéгіепсе à toi. Tous ne sont pas ainsi.

    Tu t'es déjà fait ԁéfопсег la tête contre le lavabo ? Tu t'es déjà fait frapper par une casserole retirée du feu ? Tu restais enfermé dans le garage une journée entière ? Tu ne pouvais toucher à rien chez toi sans te faire frapper ? Tu avais le droit de parler sans qu'on t'en colle une ? Et j'en passe de meilleures et même que je ne connais pas...

    Malgré cela, cette personne n'est pas devenue mauvaise, elle n'a pas suivi de thérapie non plus et a élevé ses enfants dans l'amour.

    C'est toi qui décides qui tu es au final. Certes les actes du passé te forgent mais c'est toi qui es mаîtге de qui tu veux être.

    Bref, ce genre de discours, désolé mais j'peux pas le concevoir quand on connaît une personne qui a vécu l'enfer étant enfant. Si on peut appeler ça une enfance...
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 25 juillet 2019 à 10:54
    En réponse au message de stiky :


    C'est toi qui décides qui tu es au final. Certes les actes du passé te forgent mais c'est toi qui es mаîtге de qui tu veux être.

    Si tu en as les moyens, c'est toi qui décide…

    J'ai bien connu quelqu'un qui s'est fait matraquer toute sa jeunesse jusqu'à ce qu'il s'éloigne en étant apprenti et habitant chez son patron qui tenait un hôtel restaurant.
    Pas de bol, son boss était un salaud alcoolique feignant et ce pauvre jeune aurait pu être acteur principal dans un roman de Balzac…

    C'est un des gars les plus gentil que j'ai jamais rencontré: Le cœur sur la main, un amour pour les gens que l'on rencontre rarement.

    À 25 ans, il était marié et… stérile…
    Son infertilité était nullement mécanique, sa sрегmatogenèse était en panne, tout simplement.

    Il avait tout simplement bloqué sa capacité à se reproduire… par le mental.
    Il voulait à tout prix un enfant qu'il a finit par avoir mais, dans sont fort intérieur, surtout pas.
    Bref, il vivait dans la terreur d'être comme son père s'il devenait père à son tour.

    Ce n'est qu'en étant aidé pour réaliser cela qu'il a une une fille, sans médecine associée…
    Faut dire que son père était un gros calibre: Mari violent, père іпсеstuеuх avec ses filles et briseur d'os avec lui.

    Toujours est-il que s'il avait croisé dans la rue son père, il le tuait sur le champ.
    Je n'ai jamais vu quelqu'un d'autant rongé par la haine de son père, à sa simple évocation, que lui.
    Il disait qu'il le tuerait s'il le revoyait un jour et je suis sûr que, s'il l'avait croisé n'importe où, il le prenait à la gorge comme un berger allemand…

    Comme c'est pas bon pour le moral et qu'en plus, sa plus grande réussite (sa femme et sa fille) ont vu leur route diverger de la sienne, il s'est suicidé à 36 ans, quelques années après son divorce.

    Voila un exemple, parmi tant d'autres, qui montre que l'on ne sort pas indemne de son enfance.
    Le tir est parfois corrigeable et cela ne fait pas forcément d'une enfance malheureuse une malédiction.
    D'ailleurs, c'était un père que je souhaite à tous les enfants.

    Mais c'est quand même un sacré truc à porter et tous ne sont pas aptes à le faire, tellement leur entrée dans la vie les a esquinté…

    Ce type aurait la cinquantaine aujourd'hui et sa vie aurait été très différente sans son salaud de père.
    Quel gâchis…
  • lessismore Membre suprême
    lessismore
    • 25 juillet 2019 à 11:10
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 25 juillet 2019 à 11:59
    Taux de mortalité infantile trente fois supérieur… Terrifiant…

    Cette situation me fait penser à un passage des évangiles:

    Jean 16:2: …et même l'heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu.

    Quand à la loi en vigueur dans cet état, le mot "uniquement" est un crime à lui tout seul…

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