En réponse au message de wolfi :
Tout le film est bien sur le thème de ce topic puisqu'il ne s'agit que du trafic de cette ԁгоguе dite douce et des règlements, assassinats et autre douceurs de ce milieu particulier et violent
On est sur le qualificatif de ԁгоguе douce pour une raison qui tient la route: Le THC n'accroche pas les gens de façon physique.
Mais, si on respectait cet angle d'attaque, on devrait classer la clope dans les ԁгоguеs dures parce que la nicotine, contrairement au THC, entraîne une forte dépendance physique…
Sinon, les conséquences ԁгоguеs douces ou dures sont similaires en terme de violence du milieu.
J'ai connu un ex "grossiste" repentit de l'est de la France.
Un mec qui avait toujours un flingue à portée de main et qui avait plus d'amis dans les cimetières que debout…
Une anecdote qui peut fаіге ргепԁге la "mesure" du marché:
Sa femme, quand elle faisait son repassage, en profitait pour repasser aussi les billets.
Ceux-ci sont souvent chiffonnés, pliés pour passer inaperçus dans les "transactions" avec les "détaillants" et leurs arrivaient à peine plus présentables.
Comme pour le linge, il y avait une place dans l'armoire trois portes pour eux: C'était en haut à gauche.
Ce genre d'armoire étant universelle, avec trois portes, une partie penderie, une рlапche qui fait toute la longueur de l'armoire au dessus, c'est facile de visualiser la place dévolue aux biftons.
C'était parfois remplit…
Allez, je donne la ville pour que vous voyez qu'il n'y avait pas besoin d'être grossiste dans une très grande ville: Fameck en Moselle, environ 15000 habitants à l'époque…
Je ne voudrait pas contrarier notre douanier mais, quand ceux-ci faisaient la une du Républicain Lorrain pour une grosse prise de stup à la frontière toute proche, je me disais que cela tenait bien plus de la naïveté, de l’hypocrisie, de la volonté de donner le change, que d'une quelconque efficacité de terrain…