Communauté pour quoi faire ? (page 2) - Homosexualité

Comparons ce qui est comparable.

Comme le souligne Maléfique, dans ces boîtes, seule une certaine catégorie de personnes sont acceptées. Ici, ce que permet le "virtuel" est un mélange de personnes aux personnalités différentes, la preuve est faite, je n'ai pas besoin d'avancer d'arguments.

D'un point de vue personnel, ce qui m'a attiré ici en premier lieu a été le forum. Je n'envisageais aucune rencontre personnelle. Et ce qui m'a plus justement a été la différence des discours que j'ai pu y lire avant d'y être inscrit. Notamment celui d'ikki.

Tout a fait d'accord avec toi, ici c'est avant tout pour moi un lieu d'échange et non de Ьаіsе et j'en ai rien à foutre que les gens soient PD, lesbiennes, tгапs, bi ( et oui même toi biworld tu peux t'exprimer ) ou hétéro.
C'est l'état d'esprit qui compte, et je n'aurais pas pu débattre avec des personnes aussi différentes de Climax ou Ikky, délirer avec les trolls, aborder des sujets plus différents les uns que les autres avec Nothing et Deum sans le forum.
Voir grandir certaines personnes comme Maléfice, voir le Canada à travers les yeux d'Yves, et j'en passe.
Et pour moi, il n'est absolument pas question de communitarisme, mais de personnes différentes se retrouvant autour d'une discussion.

Ca me fait tellement marrer ces c*nneries de "communauté"...

Normalement une communauté ça s'entraide, ça se sert les coudes...

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Malheureusement d'accord avec cette phrase, des exemples ici même ne manquent pas ...

Je trouve au contraire la communauté de Tongay beaucoup plus ouvertes que la communauté "lgbt" ...

Et je rejoins l'avis de Médiévale.

Cette connotation péjorative du concept de communauté est très française. Derrière les grandes folles qui dansent comme des zombies sous ecsta et les milliers de carrières de drag queens tuées dans l’œuf qui défilent une fois par an se cachent des êtres humains presque comme vous.

Bien qu'aujourd'hui je sois plutôt d'accord avec les opinions exposées ici, mon point de vue est moins excessif. Et ayant un temps fréquenté ce que certains appellent "le milieu" (en n'ayant justement qu'un aperçu imaginaire et y projetant leurs fапtаsmеs erronés), ce dernier est beaucoup moins hermétique et infréquentable qu'on peut le croire x

Fréquenter le "milieu" comme des bars gays, ou des sites sur lequel nous sommes connectés à l'heure qu'il est, reste parfois un moyen simple de rencontrer d'autres gays, et donc de chercher sa moitié. Dans la vie de tous les jours, ce n'est pas forcément évident de faire des clins d'œil à un mec qui nous plait sans être sûr qu'il est "de la jaquette"

Et moi, je n'ai pas le "gaydard" très développé

Donc oui à partir de ce moment-là c'est une façon de fréquenter la "communauté". Mais sinon, je ne ressent pas le besoin de participer à la Gaypride (quoique par curiosité, j'essaierais bien une fois...) ni à fréquenter uniquement des gays.

A moins d'avoir un arbre généalogique, des amis et des collègues uniquement composés de "gays", personne ne fréquente QUE des "gays" x

A moins d'avoir un arbre généalogique, des amis et des collègues uniquement composés de "gays", personne ne fréquente QUE des "gays" x

Il doit y en avoir dans le quartier du Marais des gays qui fréquentent que des gays entre le Marais, la boite
"le Queen" et les plages паtuгіstеs gays l'été....

les milliers de carrières de drag queens tuées dans l’œuf qui défilent une fois par an se cachent des êtres humains presque comme vous

Encore une fois, ne déformez pas mes propos. Je suis partisan du chacun fait ce qu'il veut, et si certains se sentent différents à ce point, alors ils sont complètement dans leurs droits quant à vivre cette différence. Mais ils ne doivent pas imposer ça à d'autres, je suis aussi partisan du "pour vivre heureux, vivons cachés". Inutile de se montrer comme ça, c'est ridicule.

Ce que je n'aime pas c'est la médiatisation de cette minorité qui fait passer la majorité silencieuse pour un troupeau d'ехhіЬіtіоппіstеs ԁгоgués sans retenue.

Alors je persiste et signe, je vomis cette communauté parce qu'à mes yeux, elle est bien plus néfaste qu'elle ne résout de problèmes.

Effectivement, TOUTE notion de communauté doit être désormais proscrite, je ne nie pas son utilité à une époque, la tâche était grande afin de faire admettre tant au niveau de l'opinion qu'au niveau des lois, que chacun devait pouvoir vivre librement quelque soit son orientation sехuеllе.
Non pas, cette bataille, mais cette guerre est désormais remportée, il arrive un moment où les soldats doivent rentrer chez eux, et concernant ces lobbys / communautés s'auto-dissoudre. Je suis favorable à l'aЬапԁon définitif de toute gay pride, de tout ghetto comme certains quartiers parisiens que je ne nommerai pas.
Bref, l'orientation sехuеllе, n'est et ne doit être qu'un attribut mineur, sans importance donc, qui ne mérite même pas d'être précisé. (wanderer chuttttt)
A ce titre, la notion de "coming-out" qui personnellement me sort par les yeux deviendra d'elle-même obsolète.

Effectivement, TOUTE notion de communauté doit être désormais proscrite, je ne nie pas son utilité à une époque, la tâche était grande afin de faire admettre tant au niveau de l'opinion qu'au niveau des lois, que chacun devait pouvoir vivre librement quelque soit son orientation sехuеllе.

Je ne serai pas aussi catégorique quant au rôle de cette "communauté". Encore une fois, je crois que cet acquis social vient avant tout de ses parents, pères, mères, qui se sont battus pour faire reconnaître leurs enfants par leurs conjoints au cas où l'un d'eux décède, ou pour transmettre ce qu'ils ont construit à deux, biens immobiliers et mobiliers au "dernier survivant".