Consumérisme - Le "Blabla" bar

Philosophes du soir, bonsoir !

Parlons un peu du consumérisme.
Nous sommes actuellement dans une société de consommation excessive. Tout un tas de nouveaux produits quels qu'ils soient (hi-tech, vêtements, mobilier, loisirs, etc.) est commercialisé chaque jour. Certes, c'est plutôt bien mais c'est là que de pauvres petits moutons foncent dans le tas.

Avant de crier sur ma remarque, je m'explique !

Je parle de moutons ceux qui, prenons l'exemple le plus simple avec le téléphone portable, achètent la nouveauté alors qu'ils ont l'ancienne. Ici donc, telle marque sort son nouveau téléphone, le mouton va se précipiter pour l'acheter alors qu'il a déjà un téléphone neuf sauf que maintenant, ce n'est plus le dernier modèle...

On peut aller plus loin dans le consumérisme avec les vêtements. Beaucoup achètent des habits qu'ils ne mettront qu'une fois voire même jamais. Quel intérêt ?

Se dire "Tiens, on va refaire la décoration de notre appartement car il y a une nouvelle tendance en ce moment !" Pourquoi faire cela ?

Je ne dirai pas que je ne suis pas un mouton pour certaines choses car je mentirais. Je le fais par passion, mais est-ce le cas pour tout le monde ?

En effet, certaines personnes, dont des gens que je connais, s'achètent le truc tendance pour l'ехhіЬег aux yeux de tous. Est-ce par fierté ? Montrer que nous avons les moyens financiers pour posséder tel ou tel objet ? Et donc, étaler sa richesse face à de pauvres démunis ?

Parfois, c'est à en douter !

Ainsi, telle est ma question qui mérite débat :
Le consumérisme est-il lié à l'estime de soi ?

Ou d'une autre manière :
Le consumérisme nous aide-t-il à nous identifier ? A trouver qui nous sommes ?

Je ne parle pas de la pratique qu'il faut dépenser son argent pour avoir quelque chose, je parle des effets que cela peut avoir sur nous-mêmes et notre entourage.

Vous avez 4 heures pour répondre !

Bonne chance à toutes et à tous.

C'est tout vu !

Ton commentaire est un tissu de généralisations psychologisantes ne tenant aucun compte des revenus des personnes et des appartenances sociales !

Combien de millions de personnes vivant, en France, sous le seuil de pauvreté, et sont-elles atteintes de "consumérisme" ?

Combien de personnes payant dix pour cent de leurs revenus mensuels, en impôts directs (plus la TVA, impôt indirect, le plus injuste, plus la taxe d'habitation) ce qui pour la plupart sur mettons deux mille euros constitue une somme énorme ? Moins tu gagnes, plus tu trinques en proportion (pas les millionnaires : eux sont des bienfaiteurs et fondent des fondations qui les exemptent de l'impôt) Les personnes ordinaires sont-elle adonnées au "consumérisme" ?

As-tu déjà vu des clochards, ou des personnes par centaines de milliers ayant besoin des "restaus du coeur" pour vivre, survivre ? Sont-elles atteintes de consumérisme galopant ?

Que penses-tu d'un pays où le président déclare, tel quel, qu'on dépense "un fric fou pour les aides sociales" ? Bref, ce grand bourgeois reconnaît lui-même la pauvreté qu'il organise et méprise ceux qu'il appauvrit. Les appauvris sont-ils adonnés au consumérisme ?

Question subsidiaire ; tu vis dans quel monde et à quelle classe sociale appartiens-tu ? Quels sont tes revenus et l’héritage que tu attends de tes parents ? Possèdes-tu ton logement ou tes parents possèdent-ils une maison ?

Le consumérisme est un mot inventé pour couvrir d'un voile psychologique ce qui n'est que le mode vie bourgeois.

Si c'est pour créer une polémique, ce n'était pas la peine de commenter mon sujet...
Et dans un sens, vous répondez pourtant à ma question. Seulement, vous pourriez y répondre de manière plus polie.
Si je pose cette question, ça ne veut pas dire que je gagne bien ma vie... je suis comme la grande majorité des français vis-à-vis des revenus. Mais bon, en disant cela vous allez me répondre "En vivant seul ?", "Avec des enfants à charge ?" et que sais-je encore.

Tout ce qui est demandé est : le consumérisme nous définit-il ?

Vous auriez pu vous arrêtez au fait que les pauvres ne peuvent pas consommer et donc que ça montre qu'ils n'ont pas les moyens pour. Je néglige la réponse car là, vous m'avez coupé toute епvіе de philosopher...

Merci pour votre commentaire réprobateur.

En réponse au message de climax007 :

C'est tout vu !

Ton commentaire est un tissu de généralisations psychologisantes ...!

Combien de millions de personnes vivant, en France, sous le seuil de pauvreté, et sont-elles atteintes de "consumérisme" ?

...
Ces personnes sont-elle adonnées au "consumérisme" ?

As-tu déjà vu des clochards, ou des personnes par centaines de milliers ayant besoin des "restaus du coeur" pour vivre, survivre ? Sont-elles atteintes de consumérisme ?

...

; tu vis dans quel monde et à quelle classe sociale appartiens-tu ?

Ouh là! Molo, mon poulet!

Je suis d'accord avec toi sur un point: tissus de banalités!

Mais y'a bien que sur ça que je suis d'accord!!!

Parce que je suis issu de deux monde opposés, et je suis bien placés pour faire des comparaison! Le consumériseme existe partout, et n'a rien a voir avec la classe sociale!!

Tu peux être pauvre mais mettre un point d'honneur a avoir un Iphone de moins de 3 ans! Ah si, je parle bien de l'Iphone, le plus cher! Je l'ai constaté plus d'une fois.

Pareil pour le reste d'ailleurs.

De la même manière que tu peux avoir des personnes issues de milieux aisés qui ne vont pourtant pas accorder une grande importance au matériel.

C'est toi qui fait des schéma un peu faciles! Des pauvres qui profitent du système pour tout avoir gratuit, il y en a! De même qu'il y a des travailleurs qui ont du mal a s'en sortir et passent leurs temps à se priver de tout pour aller à l'essentiel.

Tous les profils existent, dans tous les cas de figures.

Point besoin de faire le gauchiste de base pour s'insurger contre les soi-disant grands discours tout fais et tout recrâchés des autres.

Oui les gens sont influençables. Oui le matériel est un moyen de se donner de l'importance aux yeux des autres. En tout cas de ceux pour qui c'est important, il y'en a beaucoup! La faute à toute ces pubs qui hypnotisent les populations et font croire que tout sera tellement mieux avec dernière merde à la mode.

Les gens sont prets à tout pourvu qu'ils se sentent valorisés, avec le moindre effort. Je trouve ça triste, moi. mais je vais pas refaire le monde!

Bonsoir Stiky,

Houlala, je vais répondre de la plus simple des façons, sans faire de longues phrases...

Je suis un homme qui a ses huit heures de boulot dans les pattes et le cerveau en jachère!

J'évite au maximum de me créer des dépendances matérielle autres de ce qui est indispensable...

Je m'évite ainsi bien des dépenses inutiles et du temps gaspillé.

Alors attention, parfois je sais aussi me faire рlаіsіг .

Mais ne jugeons point.

Pour certains l'appartenance d'un clan se matérialisera sous les traits d'une Rolex...

Pour d'autres il se matérialisera par son accomplissement personnel.

Ah, ces sacrées valeurs!

Le plus important est d’être bien dans ses souliers.

Le signe de richesse du grand bourgeois, quel est-il ?
Quel est son idéal, à celui qui goûte à la puissance ?
Il aspire à la sobriété monacale, cela le repose.

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Ma réponse a lieu d'être, simplement parce qu'en faisant abstraction du réel des revenus, on invente un homme générique, qui n'existe pas : eh non, on ne dépense pas son fric, et on n'achète pas pareil selon ses revenus, et ceci - cette donnée - est déterminant pour répondre, honnêtement, à la question posée ; sinon, moi aussi, je peux batifoler sur "le consumérisme".

Qui ne tient pas compte des revenus et des classes sociales pour traiter de consommation, et de consumérisme, pourra émettre toutes les hypothèses qu'il voudra sur le confort apporté par les achats.

Et ensuite, par une généralisation abusive, conclure à une certaine universalité du consumérisme réconfortant.

Rhooooo, clicli!!!

Je t'ai dit plusieurs fois d'éviter de répondre après avoir pris tes psychotropes!!!

En réponse au message de menxy :

Ouh là! Molo, mon poulet!

Je suis d'accord avec toi sur un point: tissus de banalités!

Mais y'a bien que sur ça que je suis d'accord!!!

Parce que je suis issu de deux monde opposés, et je suis bien placés pour faire des comparaison! Le consumériseme existe partout, et n'a rien a voir avec la classe sociale!!

Tu peux être pauvre mais mettre un point d'honneur a avoir un Iphone de moins de 3 ans! Ah si, je parle bien de l'Iphone, le plus cher! Je l'ai constaté plus d'une fois.

Pareil pour le reste d'ailleurs.

De la même manière que tu peux avoir des personnes issues de milieux aisés qui ne vont pourtant pas accorder une grande importance au matériel.

C'est toi qui fait des schéma un peu faciles! Des pauvres qui profitent du système pour tout avoir gratuit, il y en a! De même qu'il y a des travailleurs qui ont du mal a s'en sortir et passent leurs temps à se priver de tout pour aller à l'essentiel.

Tous les profils existent, dans tous les cas de figures.

Point besoin de faire le gauchiste de base pour s'insurger contre les soi-disant grands discours tout fais et tout recrâchés des autres.

Oui les gens sont influençables. Oui le matériel est un moyen de se donner de l'importance aux yeux des autres. En tout cas de ceux pour qui c'est important, il y'en a beaucoup! La faute à toute ces pubs qui hypnotisent les populations et font croire que tout sera tellement mieux avec dernière merde à la mode.

Les gens sont prets à tout pourvu qu'ils se sentent valorisés, avec le moindre effort. Je trouve ça triste, moi. mais je vais pas refaire le monde!

Je suis d'accord avec toi, dans tous les schémas on retrouve du consumérisme, à plus ou moins forte intensité.
Je ne vais pas aller plus loin vu que le commentaire ne m'est pas destiné xd

En réponse au message de pegase49 :

Bonsoir Stiky,

Houlala, je vais répondre de la plus simple des façons, sans faire de longues phrases...

Je suis un homme qui a ses huit heures de boulot dans les pattes et le cerveau en jachère!

J'évite au maximum de me créer des dépendances matérielle autres de ce qui est indispensable...

Je m'évite ainsi bien des dépenses inutiles et du temps gaspillé.

Alors attention, parfois je sais aussi me faire рlаіsіг .

Mais ne jugeons point.

Pour certains l'appartenance d'un clan se matérialisera sous les traits d'une Rolex...

Pour d'autres il se matérialisera par son accomplissement personnel.

Ah, ces sacrées valeurs!

Le plus important est d’être bien dans ses souliers.

Du coup, ton consumérisme te ressemble non ?
Là est justement ma question.
Tu achètes peu à part ce qui t'est indispensable et tu sembles épuisé. Il reflète ta personnalité qui est de travailler beaucoup et de dépenser ton temps pour autre chose.

Je philosophe sur du détail mais c'est là qu'est l'intérêt de ce que je recherche. Je ne sais pas si on me comprend bien XD

La consommation est nécessaire pour vivre. Je dépense une partie de mes richesses pour manger, m'habiller, habiter, communiquer.
Si je dépense le reliquat de mon argent (après les dépenses de consommation courantes) pour acheter un bien pérenne dont la valeur se maintient dans le temps ou augmente, je ne suis plus consommateur mais investisseur.
Bien entendu, certains n'ont d'autre choix que de consommer toutes leurs richesses pour acheter le strict nécessaire.

Mais n'oublions pas que "consommer ses richesses" revient à les perdre en tant que telles ; à les aliéner au profit d'un autre qui les reçoit en échange d'un service ou d'un bien d'usage : des biens consomptibles qui - sauf exception - ont vocation à être utilisés jusqu'à disparaître, se dégrader, devenir obsolètes, etc.

Le consumérisme devient dès lord un mode de vie dont le principe est l’aliénation de ses richesses pour acquérir des biens non pérennes ou dont la valeur patrimoniale est inférieure à leur prix d'achat. Ce n'est pas nécessairement un appauvrissement, dans la mesure où les richesses sont généralement renouvelées afin d'être dépensées à nouveau.

On consomme ainsi pour répondre à ses besoins primaires et, si on le peut, pour répondre à un standard de vie dont l'image est véhiculée (à dessеіп) par les modes, les tendances, etc.

Le consommateur met son pouvoir d'achat en scène et se donne à voir aux autres à travers le prisme de sa capacité à dépenser, et à renouveler ses biens d'usage courant en suivant l'air du temps.

C'est un рlаіsіг égoïste ; parfois hédoniste. Mais le consumérisme est dans le même temps l'effacement de sa personnalité - de la culture personnelle de ses goûts - au profit du goût majoritaire de son groupe socio-culturel.

Et les petites "customisations", personnalisations, proposées actuellement par l’industrie en faveur d'un individus dont la publicité vante l'unicité supposée ne sont, en réalité, que les multiples variables d'un même produit ou d'une même liste de produits dans laquelle chaque consommateur pioche allègrement avec la croyance de se révéler tel qu'il est іпtіmеment par son achat.