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D'une femme qui créріssait de fiente ses murs (page 2) - Littérature & poésie

Sujet de discussion : D'une femme qui créріssait de fiente ses murs
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 24 février 2015 à 21:04
    C'est surtout une marque d'immaturité selon moi, selon ce vieux bouffon de Freud également.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 24 février 2015 à 21:08
    Rabelais revisité par Climax, auteur que j'ai zappé pour ces propos grivois, terre-à-terre, malséants, bref ,totalement inconvenants. Brûle en Enfer Rabelais.

    François Rabelais est le dernier écrivain français qui par sa langue puisée aux dialectes de France, aux parlers des métiers, par le privilège accordé au carnavalesque, c'est-à-dire au renversement des valeurs consacrées, par la puissance de ses énumérations, par l'amour du langage parlé, aura créé une langue nationale souple et goûteuse : rien à voir avec la sécheresse des auteurs du dix-septième siècle ; il faudra attendre Denis Diderot pour retrouver une telle inventivité.


    François Rabelais n'était pas vulgaire, ni malsonnant, il avait la langue drue, c'est différent, et il est un exemple de la prose narrative !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 24 février 2015 à 21:16
    C'est surtout une marque d'immaturité selon moi, selon ce vieux bouffon de Freud également.

    Dans ses essais de psychologie appliquée, Freud procède toujours par des analyses de détails précis, il raisonne, il démontre, il construit son propos ; et, comme tout psychanalyste qui se respecte, dans aucun de ses essais de psychanalyse appliquée ("Moïse et le monothéisme", "Un souvenir d'enfance de Léonard de Vinci", "Un cas de psychose paranoïaque...", ...), il ne porte de jugement moral.


    Un psychanalyste n'est pas un directeur de conscience, mais un éveilleur de conscience. "Wo Es war sol Ich werden" : "Où était le ça le moi doit advenir !"


    Oui, la psychanalyse s'honore de n'être pas une entreprise normative : son propre est de rendre un homme - si c'est possible - plus conscient de lui-même !


    Dans le livre de 1900, la "Traumdeutung", où S. Freud fait la recension de tous les essais d'interprétation des rêves, lui ne se laisse jamais aller à des insultes envers ses prédécesseurs ou adversaires ; Sigmund Freud avait de la classe et, surtout, la pratique de ce qu'est un débat qui doit faire ses preuves !
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 24 février 2015 à 21:18
    Nan mais depuis son interprétation des rêves totalement abracadabrantesque, je ne le supporte plus. Un type qui se droguait au LSD et préconisait des sоԁоmіеs à ses patientes ne peut décemment pas être pris au sérieux.
  • imotep8 Membre pionnier
    imotep8
    • 24 février 2015 à 21:32
    Le politiquement correct est très tendance. on appelle cela commu-піԛuег. C'est tellement mieux. Pis ça se veut subversif tout dans l'apparence.... Rien dans le pantalon.
    Bah... pfou..
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 24 février 2015 à 22:38
    Nan mais depuis son interprétation des rêves totalement abracadabrantesque, je ne le supporte plus. Un type qui se droguait au LSD et préconisait des sоԁоmіеs à ses patientes ne peut décemment pas être pris au sérieux.

    Tu ne sais pas de quoi tu parles, DRACONIS ; tu qualifies comme si la qualification par des phrases expéditives constituaient des raisonnements ; tu reprends un épisode de la vie de Freud qui traîne dans toutes ses biographies expresses ; enfin ton raccourci sur les prétendues sоԁоmіеs conseillées à des patientes relève de quelles sources, SVP, s'agirait-il de Monsieur Michel Onfray par hasard ? C'est de la calomnie et de la fantaisie ! Des preuves ! Des preuves !!! Des dates, des noms de patientes, des citations précises !!! C'est le moins quand on prétend, comme toi, enfoncer Sigmund Freud.


    Et puis, Draconis, tu as des notions - en tant que patient ou que praticien - de ce qu'est l'interprétation donnée au patient lors d'une cure psychanalytique ??? Ce n'est pas parce que S. Freud a pu écrire qu'il n'allait pas conseiller à une de ses patientes d'avoir une vie sехuеllеs plus vivante - et que, pourtant, cela aurait grandement contribué à améliorer son état - que S. Freud croyait qu'une partie de jambes en l'air avait des effets thérapeutiques ; bien que très directif, il ne disait pas de ces énormités ; et les aurait-il dites que cela aurait renforcé les défenses du ou de la patiente.


    Et, puisque nous sommes sur "tongay.com", sache que Sigmund Freud n'a jamais prétendu "guérir" un hоmоsехuеl, parce que, malgré sa morale privée très viennoise (il était un homme de son temps), il n'était pas un homophobe ! Il visait à aider les gens à aller mieux et à trouver des débouchés sociaux à leurs pulsions, c'est immensément différent, n'est-ce pas, de la normalisation homophobe ???
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 24 février 2015 à 22:40
    --- Je présume qu'Imotep veut traiter de Draconis.
  • imotep8 Membre pionnier
    imotep8
    • 24 février 2015 à 23:34
    Teu teu teu....
  • imotep8 Membre pionnier
    imotep8
    • 25 février 2015 à 00:02
    Bon,
    je réagissais non pas à TON poème (qui fleurait bon pour moi, mais ça c'est MON appréciation), mais à des modes de communication qui, à MON avis ne remettent pas en question un système.
    J'ai trouvé ton poème et le traitement d'un sujet récupéré plus à mon gout. Et plus subversif. Et j'ai dégommé l'autre.
    Bon c'est pas franc, j'admets... Mais bon, on a ses défauts.

    Ceci dit, celui qui a lancé le sujet, à mon avis (dc c'est subjectif) a eu de l'idée. Son traitement me plait moins. Il n'est pas subversif. J'aime moins.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 25 février 2015 à 00:46
    Soit.

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