En réponse au message de climax007 :
Bof, j'ai été atteint de ce qui était la manifestation corporelle du morcellement psychique, psycho-paranoïaque (merci la psychanalysé institutionnelle et individuelle), une dyskinésie avec un torticolis tremblotant de l'âge de seize ans jusqu'à ces dernières années, où l'intégration psychique s'est faite, et donc où la dyskinésie s'est calmée presque intégralement.
Entretemps j'ai eu à subir la moquerie sociale et la ségrégation (chaque jour, quand je travaillais en collège, les élèves imitaient mes tics).
Pat ailleurs, tout TOC est une défense contre l'anxiété, au peix de la fixation de l'énergie et de l'attention sur des rituels, des vérifications, comme si jamais rien n'était assuré : c'est une grande souffrance ; j'ai connu un garçon, très hétéro, qui passait des heures à se laver les mains : quelle souffrance !
Alors, ma foi, on peut parler de tout, et même décrétez qu'il vaut mieux garder son argent pour ne pas se soigner : de toute façon, c'est la souffrance, supportable ou non, compatible ou non avec la vie en couple, amicale, sociale ou même la survie individuelle qui DÉCIDE SOUVERAINEMENT.
Il faut mieux, alors, écouter la voix qui incite à sortir de l'impasse psychique, où l'on est sûr de crever de tics et de TOC !
Pégase, on ne dira jamais assez combien la souffrance
fait rire les gens ignorants, bien à toi ! Et combien cela
leur inspire des ricanements malveillants,
à eux qui regardent cela de loin, dans une immense
ignorance méprisante de l'autre souffrant ,
une attitude de sаlорагԁs qui relève de la même catégorie
que le racisme, de l'imbécillité réflexe théorisant ensuite
l'ignominie.
Tout d'abord, Serge, je pense que tu l'auras compris,
Mon topic ne se veut pas moqueur puisque, justement, j'en appelle aux témoignages des membres...
Je traite ce sujet par l'humour et avec légèreté, je pense, ainsi, que ça invite plus facilement à témoigner...
Désamorcer un sujet sensible, quoi.
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Comme tu le dis, il faut écouter sa voix, celle qui nous guide sans être polluer par les conseils ou la bêtise des autres...
Notre force intérieur qui dépasse l’œil assassin...
Nous-nous construisons ainsi, avec nos failles, nos faiblesses...
Qui deviennent une force si nous faisons sorte de ne plus les subir mais de les intégrer, les assumer comme un membre physique de notre corps...
Je suis ainsi, c'est à prendre ou à laisser!